L'ANTISEMITISME DANS LE CHRISTIANISME ( à condamner)
Ne nous glorifions pas d'avoir été greffé à l'olivier franc en méprisant les enfants d'Israël.
Romains 11: 13-24
Malheureusement, le christianisme dont les Juifs sont témoins chez beaucoup de gens qui se disent chrétiens, et même chez certains chrétiens véritables, ne reflète que peu l’amour et la justice de Christ et le salut qu’il apporte. Lorsqu’ils voient des chrétiens non-juifs faire preuve de malhonnêteté et d’immoralité, et surtout ceux qui s’adonnent à l’antisémitisme au nom de Christ (qui était le Juif suprêmement parfait), ils en sont profondément vexés et dégoûtés, à juste titre d’ailleurs. Ils ne sauraient éprouver une quelconque jalousie envers de tels païens, qui les éloignent davantage du Seigneur au lieu de les en rapprocher.
Il ne faudra pas longtemps pour que les chrétiens non-juifs de l’Église primitive soient tentés de mépriser les Juifs parce qu’ils ont méprisé Christ. Cette notion jettera d’ailleurs de l’huile sur le feu de l’antisémitisme qui existe déjà à l’époque au sein de nombreuses nations et cultures païennes depuis d’innombrables siècles. L’Écriture révèle cet antisémitisme en parlant de l’inimitié qui existait entre Israël et ses voisins - comme la Syrie, la Phénicie, Moab, Édom, les Philistins, et d’autres peuples cananéens. Il transparaît dans la conquête et la domination d’Israël par Babylone, l’Assyrie, la Grèce, puis par Rome. Or, étant donné que dans l’Église primitive beaucoup de croyants non-juifs ont grandi dans un milieu païen antisémite, il est facile pour Satan de les tenter à continuer d’entretenir des préjugés à l’égard des Juifs en raison du fait qu’Israël a rejeté et crucifié son propre Messie et Sauveur.
Ne nous glorifions pas d'avoir été greffé à l'olivier franc en méprisant les enfants d'Israël.
Romains 11: 13-24
Malheureusement, le christianisme dont les Juifs sont témoins chez beaucoup de gens qui se disent chrétiens, et même chez certains chrétiens véritables, ne reflète que peu l’amour et la justice de Christ et le salut qu’il apporte. Lorsqu’ils voient des chrétiens non-juifs faire preuve de malhonnêteté et d’immoralité, et surtout ceux qui s’adonnent à l’antisémitisme au nom de Christ (qui était le Juif suprêmement parfait), ils en sont profondément vexés et dégoûtés, à juste titre d’ailleurs. Ils ne sauraient éprouver une quelconque jalousie envers de tels païens, qui les éloignent davantage du Seigneur au lieu de les en rapprocher.
Il ne faudra pas longtemps pour que les chrétiens non-juifs de l’Église primitive soient tentés de mépriser les Juifs parce qu’ils ont méprisé Christ. Cette notion jettera d’ailleurs de l’huile sur le feu de l’antisémitisme qui existe déjà à l’époque au sein de nombreuses nations et cultures païennes depuis d’innombrables siècles. L’Écriture révèle cet antisémitisme en parlant de l’inimitié qui existait entre Israël et ses voisins - comme la Syrie, la Phénicie, Moab, Édom, les Philistins, et d’autres peuples cananéens. Il transparaît dans la conquête et la domination d’Israël par Babylone, l’Assyrie, la Grèce, puis par Rome. Or, étant donné que dans l’Église primitive beaucoup de croyants non-juifs ont grandi dans un milieu païen antisémite, il est facile pour Satan de les tenter à continuer d’entretenir des préjugés à l’égard des Juifs en raison du fait qu’Israël a rejeté et crucifié son propre Messie et Sauveur.
Certaines sectes « chrétiennes » modernes ont été fondées sur la notion de l’israélisme britannique. Elles entretiennent la notion tout à fait contraire à la Bible et à l’Histoire selon laquelle les Anglo-saxons engloberaient les dix soi-disant tribus perdues d’Israël, un nom auquel ils croient que les Juifs n’ont pas droit parce que Dieu les a rejetés et condamnés pour l’éternité du fait qu’ils ont rejeté et fait périr Jésus-Christ. L’antisémitisme est à la base même de ces sectes.
Des préjugés moins extrêmes, souvent dissimulés et habituellement niés, sont également véhiculés dans certaines Églises et organisations chrétiennes. Il n’est pas impossible, même chez des chrétiens véritables, de contracter cette sempiternelle maladie spirituelle que le Seigneur déteste si intensément.
Afin d’être fidèle à sa propre Parole, le Seigneur doit fournir à Israël un salut à venir. Israël n’a pas encore entièrement accompli la promesse de l’alliance que Dieu a faite avec Abraham ni les innombrables réitérations de cette promesse visant à racheter et à rétablir la postérité d’Abraham. Ainsi donc, si la racine, à savoir Abraham et les autres patriarches, est sainte, alors les branches, leur postérité, le sont aussi. Les enfants d’Israël ont été divinement appelés et mis à part avant même la fondation du monde, et l’œuvre que Dieu est en train d’accomplir dans ces branches ne sera achevée que lorsqu’elles porteront le fruit spirituel qu’il a l’intention de produire en elles et par elles, à la fin des temps lorsque le peuple d’Israël deviendra la nation sainte qu’il est destiné à être.
Un olivier sauvage, à savoir les croyants d’origine païenne, a donc été greffé à [la] place des branches infidèles et improductives d’Israël. Cet olivier d’origine païenne, constitué de gens de toutes les nations qui croient au Messie, le Seigneur Jésus-Christ, a donc été rendu participant, avec la postérité spirituelle d’Abraham, de la racine nourricière de l’olivier, cette racine de la bénédiction divine et de la relation éternelle avec Dieu par le salut.
Paul donne un ordre aux païens en fonction de la vérité qu’il vient d’énoncer : ne te glorifie pas aux dépens de ces branches, c’est-à-dire des Juifs incrédules qui ont été retranchés, avant de préciser : Si tu te glorifies, sache que ce n’est pas toi qui portes la racine (la promesse faite à Abraham : « … toutes les familles de la terre seront bénies en toi » ; Genèse 12:3), mais que c’est la racine qui te porte. Les croyants non-juifs ne sont pas plus en soi la source de la bénédiction que les croyants juifs ne l’ont été. Les païens d’origine païenne sont bénis par Dieu parce qu’ils appartiennent à la postérité spirituelle du fidèle Abraham. Nous sommes bénis parce que nous avons été greffés à l’alliance du salut que Dieu a faite avec Abraham et qu’il offre maintenant selon sa grâce à tous ceux qui croient au Dieu d’Abraham.
Il est tragique et lamentable qu’au cours d’une grande partie de l’histoire de l’Église les Juifs qui se sont convertis à Christ ont souvent dû subir l’attitude de supériorité des croyants non-juifs et ont souvent été exclus ou acceptés à contrecœur au sein de la communion fraternelle des chrétiens.
Il est tragique et lamentable qu’au cours d’une grande partie de l’histoire de l’Église les Juifs qui se sont convertis à Christ ont souvent dû subir l’attitude de supériorité des croyants non-juifs et ont souvent été exclus ou acceptés à contrecœur au sein de la communion fraternelle des chrétiens.
Le retranchement et la greffe dépendent de la foi, et non d’une infériorité ou d’une supériorité raciale ou nationale intrinsèque. Ce n’est pas une question de mérite, et cela n’a rien à voir avec la race, l’ethnie, l’appartenance sociale, l’intellect, ni même la moralité. C’est uniquement une question de foi. Les branches (les Juifs) ont été retranchées en raison de leur incrédulité, et les païens qui ont cru à Christ ont été [greffés], c’est-à-dire rendus capables de [subsister], sur la base de leur foi au Seigneur Jésus-Christ.
le retranchement et la greffe dépendent de la foi, et non d’une infériorité ou d’une supériorité raciale ou nationale intrinsèque. Ce n’est pas une question de mérite, et cela n’a rien à voir avec la race, l’ethnie, l’appartenance sociale, l’intellect, ni même la moralité. C’est uniquement une question de foi. Les branches (les Juifs) ont été retranchées en raison de leur incrédulité, et les païens qui ont cru à Christ ont été [greffés], c’est-à-dire rendus capables de [subsister], sur la base de leur foi au Seigneur Jésus-Christ.
le retranchement et la greffe dépendent de la foi, et non d’une infériorité ou d’une supériorité raciale ou nationale intrinsèque. Ce n’est pas une question de mérite, et cela n’a rien à voir avec la race, l’ethnie, l’appartenance sociale, l’intellect, ni même la moralité. C’est uniquement une question de foi. Les branches (les Juifs) ont été retranchées en raison de leur incrédulité, et les païens qui ont cru à Christ ont été [greffés], c’est-à-dire rendus capables de [subsister], sur la base de leur foi au Seigneur Jésus-Christ.
Si la vocation et la bénédiction spéciales que Dieu a données à Israël n’ont pas évité aux élus d’être retranchés, l’absence de cette vocation et de cette bénédiction chez les non-Juifs ne leur évitera certainement pas d’être retranchés pour cause d’incrédulité. Par conséquent, vous feriez bien, comme Paul le conseille à ses lecteurs païens, de nourrir une juste crainte et de résister fortement à la tentation de vous abandonner à l’arrogance (1 Corinthiens 10:18) et au mépris (1 Corinthiens 10:20).
L’Église visible d’aujourd’hui est en majeure partie non juive, et cette Église englobe un grand pourcentage des apostats, des hérétiques et d’autres personnes qui rejettent l’autorité absolue et intrinsèque de l’Écriture, et qui nient ses vérités fondamentales, y compris la divinité de Christ. Et le jugement du Seigneur tombera sur l’Église non juive apostate aussi certainement et aussi rapidement qu’il est tombé sur la nation apostate d’Israël. Rappelons-nous à ce sujet la mise en garde que Jésus adresse à l’Église de Pergame : « De même, toi aussi, tu as des gens attachés pareillement à la doctrine des Nicolaïtes. Repens-toi donc ; sinon, je viendrai à toi bientôt, et je les combattrai avec l’épée de ma bouche » (Apocalypse 2:15, 16). Et à l’Église de Laodicée, Jésus promet que, par dégoût pour eux, Dieu vomira de sa bouche les non-croyants qui ne sont chrétiens que de nom (Apocalypse 3:16). Au sens collectif, Jésus les désignera plus tard comme la prostituée babylonienne des derniers temps que le Seigneur permettra à l’Antéchrist et à sa confédération de dix nations de dévaster brutalement (Apocalypse 17:16).
Dans les derniers temps, durant la grande Tribulation, l’Église non juive apostate - ce Corps de Christ qui a été coupé de l’olivier sauvage selon sa nature, et greffé contrairement à [sa] nature sur l’olivier franc - sera elle-même retranchée, exactement comme Israël l’a été.
Et en ce temps-là, les enfants Israël (eux) seront … greffés selon leur nature sur leur propre olivier. La postérité naturelle d’Abraham deviendra aussi sa postérité spirituelle et sera de nouveau le peuple de la bénédiction que le Seigneur s’est choisi.
Et en ce temps-là, les enfants Israël (eux) seront … greffés selon leur nature sur leur propre olivier. La postérité naturelle d’Abraham deviendra aussi sa postérité spirituelle et sera de nouveau le peuple de la bénédiction que le Seigneur s’est choisi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire