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Blog chrétien. Tout pour Yeshoua Ha'Mashiach/Jésus-Christ de Nazareth !
Nous fondons notre foi sur Jean 3:16: "Oui, Dieu a tant aimé les hommes qu’il a donné son Fils, son unique, pour qu’aucun de ceux qui se confient en lui ne soit perdu, mais que chacun accède à la vie éternelle."
Davwa, Bondyé sitèlman enmen lènonm-lan, i ba yo sèl yich-li a pou tout moun ki mete konfyans yo nan li pa pèd lavi yo. Okontrè, yo ka gen lavi ki pa ka janmen fini.
Fraternellement.
Jean-Pierre LAUHON/JipÈl
7bonne-nouvelle , le 03/05/2013

L'idée m'est venue de créer un blog afin d'y mettre tous mes messages envoyés tous les jours à vingt de mes ami(e)s chrétien(ne)s.
En effet, à plusieurs reprises, les textos sms et whatsApp m'étaient redemandés.
Ce blog servira d'archives avec un plus: les commentaires que vous pourrez laisser.




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vendredi 24 février 2017

Greffé à l'olivier franc

la greffe en fente principalement pour les fruitiers à pépins sur porte-greffe de diamètre inférieur à 2 cm ;

En horticulture et arboriculture, le greffage est un mode de reproduction végétative qui consiste à implanter dans les tissus d'une plante (nommée "porte-greffe") un bourgeon ou un fragment quelconque (nommé "greffon"), prélevé sur une autre plante ou de la même plante, pour que celui-ci continue à croître en faisant corps avec la première.
La greffe est le résultat de cette opération.
En vieux français, greffer se disait « enter ».

 
la greffe en écusson, la plus utilisée pour les fruits à noyaux et à privilégier à chaque fois que cela est possible car c'est la greffe la moins agressive ;



Afin de conserver toutes les caractéristiques génétiques d'un arbre fruitier, il est indispensable d'effectuer le greffage qui permet de multiplier les arbres fruitiers.
avoir un arbre vigoureux en optant pour un porte-greffe adapté : porte-greffe franc le plus connu et qui donnera une grande robustesse au fruitier ;
Les Romains, pionniers dans de nombreux domaines, nous ont légué des techniques de greffage

Cette technique permet au niveau d'une oliveraie :
  • d'installer des greffons de cultivars (variétés)
  •  réputés productifs sur des oliviers qui sont régulièrement sans récolte.

La première raison, qui est la plus importante, est de reproduire une variété identique à son original. Le greffon détermine la variété souhaitée, en donnant les fruits à l'identique.
En effet, disons qu’on découvre une mangue exceptionnelle par sa qualité, on l’appellera ici Mangue Julie, et que l’on souhaite reproduire ce manguier. Si on conserve son noyau pour les semer, les arbres qui naîtront de cette mangue ne seront pas des Mangue Julie, mais bien des manguiers différents portant certaines caractéristiques du manguier Julie original.
À l’image de tout être humain qui porte quelques traits de ressemblance avec ses parents, sans pour autant en être une copie conforme et tout en étant différent de ses frères et sœurs, ainsi sont les arbres fruitiers.
Même les pépins issus d’une même pomme donneront chacun un pommier avec des caractéristiques différentes.
C’est donc là que le greffage prend toute son importance : il permet de reproduire exactement la même variété.


- Le porte-greffe, c’est l’arbre sur lequel on viendra greffer le bourgeon de la variété à propager. C’est lui qui fournira les racines de l’arbre. Son importance est primordiale, car il influence l’arbre sur plusieurs points. D’abord, c’est lui qui décidera de la vigueur (grandeur) de l’arbre, mais aussi la durée de vie. le porte-greffe permet à l’arbre de s’implanter dans un sol (ancrage plus ou moins solide) et de s’adapter à ce sol.
Quand on choisit un arbre fruitier, il est essentiel de vérifier que la variété choisie est rustique, résistante.
La plupart des gens qui cherchent des arbres fruitiers font attention à ce facteur. Cependant, ce qu’ils oublient souvent, c’est de vérifier la rusticité de leur porte-greffe!
Si votre porte-greffe est rustique comme il se doit, la greffe ne demande aucun soin particulier
Oui, le greffage influence la précocité de la fructification. Cela est dû au fait que le bois qu’on greffe est mature, il provient d’un arbre déjà entré en production.
Utiliser un porte-greffe vigoureux comme les francs (des plants obtenus à partir d’un semis), un plant sauvage et non greffé.Le semis est le procédé naturel : on sème des graines (pépins ou noyaux) contenues dans le fruit. Appelés « francs de semis »ou « sauvageons », les arbres obtenus par semis sont toujours très vigoureux.
Les francs sont issus de semis. On les trouve encore dans les vergers de plein vent, où ils forment des arbres de haute tige, qui vivent longtemps. Leur enracinement pivotant et puissant assure un ancrage solide.




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L'apôtre Paul fait de la greffe de l'olivier une figure de la vocation des Gentils, qui ont été entés des branches de l'olivier sauvage sur l'olivier franc, c'est-à-dire, sur le tronc d'Israël (Romains 11:17-24). L'application spirituelle de cette comparaison est claire par elle-même ;

la greffe est un procédé inverse de celui qu'indique ici l'apôtre :
la vrai méthode serait celle-là: c'est la branche d'olivier franc qui est entée sur le tronc d'olivier sauvage.

Si toi, tu as été coupé de l’olivier naturellement sauvage, et enté contrairement à ta nature sur l’olivier franc, à plus forte raison eux seront-ils entés selon leur nature sur leur propre olivier. Romains 11:24
Romains 11: 25-36: cf. Ésaïe 59:19-21. Jérémie 31:31-40. Ézéchiel 36:23, etc.; 37. Osée 3:4, 5. Ésaïe 54:7-10.
Les païens sont greffés sur un olivier franc. Comme le dit Paul, ce procédé est « contre nature ».

1° L'apôtre Paul se serait-il grossièrement trompé en empruntant une image à une technique qu'il aurait mal connue?

Il aurait sciemment interverti le procédé pour faire entendre que la grâce de Dieu peut opérer dans le domaine spirituel une rénovation que l'homme est incapable de provoquer dans le domaine agricole ;

En arboriculture, le fait que l'olivier sauvage (greffon) soit greffé à l'olivier franc (porte-greffe) amènerait l'olivier sauvage à donner des fruits de la même variété: sauvage.`
Je greffe un greffon de  manguier Julie sur un porte-greffe de mangot vert vigoureux et rustique j'obtiens de belles mangues Julie.
Je greffe un greffon olivier sauvage sur un porte-greffe d'olivier rustique, franc, vigoureux j'obtiens de belles olives sauvages !!!       Un non-sens:  Élohim ne veut pas que nous portions les fruits du paganisme!
 
Il aurait fallu que le greffon de l'olivier franc (Israël) soit greffé sur le porte-greffe de l'olivier rustique sauvage pour obtenir des belles olives issues de l'olivier franc, lignée privilégiée d'Élohim au cours des siècles.
Normalement, lorsque le greffon sauvage est mis sur l’arbre franc, c’est sa nature sauvage qui envahit l’arbre.
Inversement, quand un greffon bon est mis sur un arbre mauvais, sa nature bonne se répand dans tout l’arbre.

Il y a une raison à cela pour que l'apôtre ait interverti le sens du greffage de l'olivier :

Si le greffon de l'olivier franc est enté sur le porte-greffe de l'olivier sauvage, cela est normal en arboriculture, mais spirituellement cela voudrait dire que l'olivier franc se nourrirait des racines du paganisme, en puisant dans les racines de l'olivier sauvage.  INCONCEVABLE!Paul a privilégié les racines au détriment de la technique de greffage. L'image du monde païen greffé à l'olivier franc a été ainsi inversée. 
Il est à noter que la nation d’Israël fut la première à faire partie de cette lignée privilégiée.
Elle était jadis le peuple terrestre choisi par Dieu.
À cause de son rejet du Messie, quelques-unes de ses branches ont été retranchées et ainsi les Juifs ont perdu leur position de «fils favori».
Les païens ont été greffés sur l’olivier franc et sont devenus participants, avec les Juifs croyants, de la racine nourricière. La racine nous renvoie à Abraham, avec lequel la lignée privilégiée commence. Le mot nourricière évoque la sève qui monte de la racine de l’olivier et lui permet de produire ses riches récoltes d’olives et d’huile en abondance.
Ainsi la sève symbolise ici les privilèges que reçoit le rameau d’olivier sauvage grâce à son union avec l’olivier franc. 

L'application spirituelle de cette comparaison est claire par elle-même

Elohim avait décidé de mettre à part un peuple particulier pour lui faire partager son intimité. Ce peuple serait séparé du reste du monde et jouirait de privilèges spéciaux, en bénéficiant de ce que l’on appelle aujourd’hui : « le statut de la nation la plus favorisée ». Tout au long de l’histoire, Dieu posséderait un cercle spécial d’intimes.
Il s’agit de tous ceux qui auront été sauvés entre la Pentecôte et l’enlèvement, Juifs et non-Juifs (cf. Actes 15:14; Ephésiens 4:11-13; 1Corinthiens 12:12-13).

Paul n’enseigne pas qu’un païen converti peut être coupé de l’arbre et ainsi perdre son salut. L’apôtre se contente d’affirmer que si Dieu n’a pas épargné la nation d’Israël lorsqu’elle a sombré dans l’apostasie, il n’épargnera pas non plus les « croyants » qui deviennent apostats. La communauté « chrétienne » prend aujourd’hui le même chemin qu’Israël autrefois, et Dieu la rejettera et la jugera (cf. 1Timothée 4:1-3; 2Pierre 2:1-22; Apocalypse 3:14-22; 17:3-18).

Paul donne la raison de ses explications concernant la totalité des païens : « Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère » (Romains 11:25).
Dans la Bible le mystère désigne une vérité précédemment cachée, non révélée dans l’Ancien Testament, mais mise en lumière dans le Nouveau.

L’olivier représente les bénédictions promises à la postérité d’Abraham.
Genèse 12:3  Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi.
Galates 3:6  Comme Abraham crut à Dieu, et que cela lui fut imputé à justice,
Galates 3:7  reconnaissez donc que ce sont ceux qui ont la foi qui sont fils d’Abraham.
Galates 3:8  Aussi l’Ecriture, prévoyant que Dieu justifierait les païens par la foi, a d’avance annoncé cette bonne nouvelle à Abraham : Toutes les nations seront bénies en toi !
Galates 3:9  de sorte que ceux qui croient sont bénis avec Abraham le croyant.


N’oublions pas non plus que l’olivier sauvage ne représente pas l’Église mais l’ensemble des païens. Sinon cela laisserait supposer que de vrais croyants pourraient être retranchés de la faveur de Dieu, éventualité dont Paul a déjà démontré l’impossibilité.

Romains 8:38  Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, (8-39) ni les puissances,
Romains 8:39  ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.


Si le rejet des Juifs n’était pas total, il n’est pas non plus final. Ils ne sont pas tellement tombés qu’ils ne doivent jamais se relever.
Le but de Dieu n’a pas été de rejeter son peuple entièrement ; mais il a voulu d’abord faciliter par son rejet temporaire les progrès de l’évangile parmi les Gentils, et finalement faire de la conversion des Gentils le moyen de conversion des Juifs, 

 Combien est admirable la sagesse de Dieu telle qu’elle se manifeste dans le plan et la conduite de l’œuvre de la rédemption ! de lui, par lui, et pour lui sont toutes choses ; à lui soit la gloire à jamais. Amen.

Romains 11:33   O profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu ! Que ses jugements sont insondables, et ses voies incompréhensibles ! Car
Romains 11:34  Qui a connu la pensée du Seigneur, Ou qui a été son conseiller ?
Romains 11:35  Qui lui a donné le premier, pour qu’il ait à recevoir en retour ?
Romains 11:36  C’est de lui, par lui, et pour lui que sont toutes choses. A lui la gloire dans tous les

lundi 20 février 2017

Notre Père , Prière de Yeshoua




Le "Notre Père" ou "Prière du Seigneur" se distingue par sa brièveté, sa simplicité et sa facilité de compréhension.

Des SIX sujets de prière, TROIS sont ORIENTÉS VERS DIEU (vv. Matthieu 6:9-10) et TROIS vers les BESOINS HUMAINS (vv. Matthieu 6:11-13).










Dans cette prière, nous trouvons SIX requêtes : les TROIS premières sont expressément relatives à DIEU et à SA GRANDEUR, alors que les trois dernières concernent nos INQUIÉTUDES, qu’elles soient TEMPORELLES ou SPIRITUELLES.
Cette prière nous apprend à CHERCHER d’abord le ROYAUME DE DIEU et SA JUSTICE, toutes choses nous seront ensuite octroyées.
Après avoir abordé les sujets de la GLOIRE, du ROYAUME et de la VOLONTÉ de DIEU, le contenu de cette prière concerne le NÉCESSAIRE et le RÉCONFORT RELATIFS à notre VIE ICI-BAS.
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Plan de la "Prière du Seigneur":

1-  Une RELATION PERSONNELLE avec Dieu : « Notre Père ». Le pronom "NOTRE" évoque les RELATIONS FRATERNELLES avec TOUS les AUTRES CHRÉTIENS.

Si la Bible ne présente pas la paternité universelle de Dieu, EN REVANCHE, elle souligne la fraternité universelle des croyants. Le nom Père évoque la relation du croyant avec Dieu.

2-   LA FOI : « QUI ES AUX CIEUX ». L’auteur de la lettre aux Hébreux déclare que sans la foi, la prière est inefficace (Hébreux  11:6).

3-    L'ADORATION : « QUE TON NOM SOIT SANCTIFIÉ ». Pour David cet aspect de la prière était si important qu’il désigna un groupe d’hommes qui avaient pour mission de consacrer tout leur temps à l’adoration de Dieu dans le temple (cf. 1Chronique 23:5; 25:1, 7). Dans l’Apocalypse, Jean voit quatre anges spéciaux qui n’existent que pour adorer Dieu et qui « ne cessent de dire jour et nuit : SAINT, SAINT, SAINT EST LE SEIGNEUR DIEU, LE TOUT-PUISSANT QUI ÉTAIT, QUI EST ET QUI VIENT » (Apocalypse  4:8). Souvenez-vous également de la réponse de Jésus à la Samaritaine (Jean 4:23-24).

4-  L’ATTENTE : « QUE TON RÈGNE VIENNE ». Il s’agit du règne de Christ de mille ans auquel l’Ancien Testament fait si souvent allusion (cf. Esaïe 2:2-4; 25:8; 35:1, 8, 10; 65:20, 25) et entrevu par Jean (Apocalypse 20:1-6).

5-   LA SOUMISSION : « QUE TA VOLONTÉ SOIT FAITE SUR LA TERRE COMME AU CIEL ». Dans le jardin de Gethsémané, Jésus donne un exemple de cette soumission à la volonté du Père (Matthieu 26:39).

6-  LA REQUÊTE : « DONNE-NOUS AUJOURD'HUI NOTRE PAIN QUOTIDIEN ». Cette demande indique que notre prière doit être formulée tous les jours, puisque nous mangeons tous les jours.

7-   LA CONFESSION : « PARDONNE-NOUS NOS OFFENSES ». Le sang de Christ nous purifiera de tout péché, mais il ne les excusera pas ! Seuls les péchés confessés peuvent être pardonnés (cf. 1Jean 4:20).

8-   LA COMPASSION : « COMME NOUS PARDONNONS AUSSI À CEUX QUI NOUS ONT OFFENSÉS ». Voir Matthieu 18:21-35; 1Jean 4:20.

9-  LA DÉPENDANCE : « NE NOUS LAISSE PAS PAS ENTRER DANS LA TENTATION, MAIS DÉLIVRE-NOUS DU MALI ». Remarquons que si Dieu n’a jamais promis de nous préserver de la tentation, en revanche, il s’est engagé à nous garder dans la tentation (cf. 1Corinthiens 10:13).

10.    LA DOXOLOGIE : « CAR C'EST À TOI QU’APPARTIENNENT, DANS TOUS LES SIÈCLES, LE RÈGNE, LA PUISSANCE ET LA GLOIRE. » Voir la grande prière de David dans 1Chronique  29:10-19 où le roi explicite en fait la dernière partie de la prière de Jésus.

(En parlant de prières, la  DOXOLOGIE est une formule de LOUANGES employée dans l'ensemble des prières  chrétiennes. Elle est en général exécutée en tant que FINALE de PRIÈRES.).

Abolir ou Accomplir la Loi?



Les CINQ PREMIERS LIVRES de L’ANCIEN TESTAMENT sont appelés la LOI (TORAH).
Dieu avait donné la LOI au peuple juif.
Elle était composée de DIX COMMANDEMENTS principaux (Exode 20:1-17) accompagnés de nombreuses règles.

Les Juifs croyaient qu’en respectant la LOI ils pouvaient accéder au SALUT.
Le reste de l’Ancien Testament comprend l’histoire du peuple juif et les écrits des prophètes.

C’est pourquoi L'INTÉGRALITÉ de l’Ancien Testament est souvent appelée la LOI et les PROPHÈTES

Comment Jésus accomplissait-Il la loi ?
En s’y soumettant pleinement.
Les Juifs n’acceptaient pas Jésus. Ils L’accusaient d’enfreindre la loi juive.
Mais leur accusation était mensongère. C’était eux qui violaient la loi en ne l’appliquant QU’EXTÉRIEUREMENT et NON dans leur CŒUR.
Jésus montrait que la loi devait être respectée non seulement dans les actions visibles, mais aussi dans la DISPOSITION INTÉRIEURE.

Que nul ne puisse supposer que Christ autorise Son peuple à ne pas respecter le moindre commandement de la sainte loi divine. Aucun pécheur ne peut bénéficier de la Justification offerte par Christ, tant qu’il ne se repent pas de ses mauvaises actions.

« Accomplir » : Il est ici question d’accomplissement semblable à celui d’une prophétie.
Christ soulignait QU'IL ÉTAIT L’ACCOMPLISSEMENT DE LA LOI dans tous ses détails.

Il accomplit la LOI MORALE en la gardant parfaitement. Le Decalogue.

Il accomplit la LOI CÉRÉMONIELLE en étant lui-même l’incarnation de tout ce que PRÉFIGURAIENT les TYPES et les SYMBOLES de la loi.

Il accomplit aussi la LOI JUDICIAIRE en personnifiant la justice parfaite de Dieu (cf. Matthieu 12:18, Matthieu 12:20).

La plupart des chefs révolutionnaires coupent tous les ponts avec le passé et rejettent l’ordre existant. Pas le Seigneur Jésus. Il MAINTINT la loi de Moïse et INSISTA pour qu’elle soit observée.

Jésus n’était pas venu pour abolir la loi ou les prophètes, mais pour les accomplir.

Il déclara formellement que pas un seul iota ou un seul trait de la loi ne disparaîtrait, jusqu’à ce que tout soit arrivé. Le IOTA ou YOD est la plus petite lettre de l’alphabet hébreu ; le trait de lettre est le plus petit signe qui permet de différencier une lettre d’une autre, un peu comme un petit trait horizontal permet de distinguer le « E » du « F ». Jésus croyait à l’inspiration littérale de la Bible, même dans ce qui pouvait passer pour des détails anodins. Dans l’Écriture, rien, pas même le moindre trait, n’est insignifiant.

Il est important de noter que Jésus n’a pas dit que la loi ne passerait jamais. Il a déclaré qu’elle ne passerait pas AVANT QUE tout ne soit arrivé. Cette précision a des implications pour le chrétien d’aujourd’hui. Il n’est pas évident pour le chrétien de discerner comment il doit considérer la loi.

 Avant d’enseigner à ses disciples les bases sur lesquelles ils doivent établir et maintenir des relations avec les autres, le Seigneur confirme fermement l’importance de « la loi et des prophètes », c’est-à-dire des Saintes Écritures.

Certes, il introduit un nouvel ordre de choses : le ROYAUME DES CIEUX, mais cela ne change rien à l’immuable et permanente Parole de Dieu ; au contraire, le Seigneur va accomplir la loi, non pas dans ses prescriptions formelles, mais pleinement et entièrement dans son esprit et son sens le plus profond, dans son essence même : AIMER DIEU ET LE PROCHAIN.

 Yeshoua nous a sauvés de la MALÉDICTION de la LOI et affranchis du JOUG des ORDONNANCES CÉRÉMONIELLES, il est des gens qui ont parlé et agi comme s’il n’y avait plus de lois pour les rachetés de Jésus-Christ ; ce sont eux qu’on appelle les ANTINOMIENS  (Doctrine enseignant que, dans la dispensation de l’Évangile, la loi morale n’est d’aucune utilité).  Ce n’est donc pas sans utilité que notre Seigneur a déclaré qu’il n’est venu abolir ni la loi ni les prophètes, en d’autres termes aucune partie de l’Ancien Testament.

Et de fait, en suivant Jésus tout au long de son service ici-bas, les disciples peuvent voir et, pour ainsi dire, toucher du doigt comment il accomplit la loi. Il est entièrement dévoué par amour à la volonté de son Père, et en même temps toujours plein de compassion pour tous les gens qu’il rencontre ou avec lesquels il vit. Pour tous, il est parfaitement le SEL et la LUMIÈRE.

Par son exemple, Yeshoua nous indique à la fois la première condition pour être le SEL et la LUMIÈRE des hommes et la première manière de l’être réellement : CONNAÎTRE et PRATIQUER la PAROLE de DIEU.

Nous sommes reconnaissants d’avoir en elle une base solide, et de ne pas être laissés à nos propres appréciations de ce qu’il convient de faire ou de ne pas faire, ni livrés à des systèmes de pensée philosophiques ou moralistes élaborés par les hommes.

Le Seigneur insiste sur la nécessité de garder toute la Parole sans rien en retrancher, de ne pas privilégier, comme le faisaient les pharisiens, les commandements dont l’observance nous confère une renommée de piété et de sainteté auprès des autres. Il nous invite ainsi à ne pas nous contenter d’apparences, mais à aimer en action et en vérité (1Jean 3:18). Il est notre parfait modèle en cela.

Matthieu montre que l’observation scrupuleuse de la Loi ne qualifie pas ceux qui veulent entrer dans le royaume. C’est la reconnaissance de l’état de péché et de la grâce de Dieu seule qui ouvre l’accès du ciel.
La mort de Jésus à la croix reste le seul moyen offert aux hommes, Juifs ou non, pour bénéficier du pardon de Dieu.

Jésus dit : « Ne pensez pas que je sois venu abolir la loi ou les prophètes. Je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir » (Matthieu 5:17).
Cette parole a donné lieu à plusieurs interprétations .

1° Certains estiment que le verbe « accomplir » signifie le contraire d’« abolir », puisque la construction de la proposition (« non pour abolir, mais pour accomplir ») semble exiger une opposition.
Pour eux, Jésus dit en somme : « Je ne suis pas venu pour abolir la loi, mais pour la maintenir, la préserver ou l’observer ».
Or, Jésus voyait-il réellement sa mission dans ces termes, en particulier si le maintien ou l’observance de la loi se résumait à honorer ses commandements et ses prescriptions ?
Dans les versets qui suivent (Matthieu 5:21-48), n’est-il pas manifeste que Jésus introduit au moins quelques modifications ?
Dans Matthieu 15:1-20 (cf. Marc 7:1-23), n’apporte-t-il pas des changements aux lois alimentaires ?

2° C’est pourquoi, d’autres commentateurs pensent que Jésus ne vise ici QUE la loi morale.
Or, il n’est pas du tout évident que les chrétiens du Ier siècle faisaient la même distinction que nous entre loi morale, loi civile et loi cérémonielle.
De toute façon, le verset 18 qui évoque « un seul iota, …  un seul trait de lettre » semble trop concerner l’ensemble de la loi pour permettre une telle restriction.

3° D’autres encore comprennent « accomplir » dans le sens de « valoriser » ou de « révéler la vraie signification de ». Cependant, ce verbe n’est jamais utilisé dans ce sens-là.

Mais L’INTERPRÉTATION la plus ÉQUILIBRÉE du verbe « accomplir » est qu'autrefois, Dieu avait annoncé certaines choses ; maintenant, il « accomplit » sa Parole, il réalise ce qu’il a promis. C’est toujours le sens que Matthieu confère au verbe « accomplir » (qu’il utilise fréquemment). Jésus déclare donc ici qu’il n’est pas venu pour abolir la loi, mais plutôt pour mettre en œuvre tout ce que la loi prédisait. Cet accomplissement ne s’achèvera qu’à la fin des temps, lorsque tout ce que la loi avait prédit sera réalisé ( Matthieu 5:18).

Jésus a accompli les Écritures de 4 manières différentes.
1. En obéissant parfaitement à la LOI MORALE (10 commandements), à tous les commandements de l’Ancien Testament. Il l’a fait au nom et pour le bénéfice de tous ceux qui croient en lui, car cela nous était totalement impossible.

2. En RÉALISANT EN SA PERSONNE tous les RITUELS de la partie CÉRÉMONIALE de la Loi avec ses nombreux sacrifices et les protocoles complexes qui annonçaient de façon figurative sa venue.

3. En accomplissant toutes les PROPHÉTIES MESSIANIQUES qui concernaient sa naissance, vie, mort et résurrection.

4. En devenant l’Agneau pascal de Dieu sacrificiel qui a porté et expié sur la croix toutes les fautes de l’humanité et qui a pris sur lui les jugements que la Loi avait PRONONCÉS CONTRE NOUS TOUS.


La LOI MORALE:  aucune société ne peut se passer des 10 commandements, expression de la nature immuable de Dieu. Leurs principes spirituels et moraux resteront valables tant qu’il y aura des hommes sur la terre ; le culte en esprit et en vérité rendu au Dieu unique ; la crainte de son nom ; le besoin de repos pour tous ; les égards vis-à-vis des parents ; le respect de la vie du prochain, de son honneur, de sa famille et de ses biens.
Chacun de ces principes est repris dans son essence dans le Nouveau Testament (cf. Matthieu 19:18-19; 22:37-39 ; Romains 13:8-9 ; Ephésiens 4:25-5:5; 6:1-2 ; Hébreux 4:9-11, etc.).

Pourtant, les ORDONNANCES CÉRÉMONIELLES de l’Ancienne Alliance (Hébreux 8:7) étant périmées (Hébreux 8:13 ; cf. Hébreux 8:1-10), les apôtres REFUSÈRENT de les IMPOSER aux convertis d’origine païenne (Actes 15:23-29, etc.). Le sacerdoce lévitique, les sacrifices, les cérémonies, les fêtes, toutes ces choses ordonnées par la loi préfiguraient Christ, notre souverain sacrificateur et son sacrifice expiatoire.
Ces types accomplis par la venue du Sauveur ne sont désormais plus nécessaires, quoique leur intérêt symbolique demeure.

La LOI CIVILE et criminelle des Israélites était admirablement adaptée à leur degré de civilisation.

Matthieu 5:18  "Rien ne sera soustrait à la loi jusqu’à ce que tout soit arrivé" — autrement dit, avant que les écrits de l’Ancien Testament concernant Jésus ne se soient accomplis. Jusqu’à la mort et la résurrection de Jésus, toute la loi était en vigueur.
Mais après, une partie de la loi est devenue inutile. Elle n’a pas « disparu », mais elle a simplement cessé d’être applicable.
Cette portion de la loi qui n’est plus d’actualité était la partie « cérémonielle ». La loi juive comprenait de nombreuses prescriptions au sujet des sacrifices, de la suppression de la culpabilité et des moyens de se purifier du péché.
Ces règles ne sont plus nécessaires, car maintenant Christ est venu nous délivrer de nos péchés et de notre culpabilité.
Hébreux 8:12  "Parce que je pardonnerai leurs iniquités, Et que je ne me souviendrai plus de leurs péchés".

Hébreux 8:13  "En disant : une alliance nouvelle, il a déclaré la première ancienne ; or, ce qui est ancien, ce qui a vieilli, est près de disparaître."

La loi était inséparable de la peine capitale (Galates 3.10) ; transgresser un seul commandement équivalait à se rendre coupable de tous (Jacques 2.10). Comme les Israélites avaient enfreint la loi, ils étaient sous la malédiction de la mort. La justice et la sainteté de Dieu exigeaient que la faute soit payée.
C’est pour cette raison que Christ est venu dans le monde. Il a payé de sa vie la faute des hommes. Il est mort à la place des transgresseurs coupables, bien qu’Il était lui-même exempt de tout péché. Il n’a pas mis la loi de côté ; au contraire, Il a satisfait à toutes les exigences de la loi en accomplissant parfaitement toutes ses ordonnances par sa vie et par sa mort.
L’Évangile ne supprime donc pas la loi ; il la confirme et montre comment elle a été pleinement satisfaite par l’œuvre rédemptrice de Christ.
Par conséquent, celui qui croit en Jésus n’est plus sous la loi ; il est SOUS LA GRÂCE (Romains 6.14).

En Christ, il est mort vis-à-vis de la loi. La faute contre la loi ne devait être payée qu’une fois ; comme Christ l’a fait, le croyant est délié de cette dette.
Dans ce sens, la loi perd de son pouvoir pour le chrétien (2Corinthiens 3.7-11).

Elle était un PÉDAGOGUE — un tuteur — jusqu’à la venue de Christ ; après le salut, ce pédagogue n’est plus nécessaire.

Pourtant, même si le chrétien n’est plus sous la loi, IL N'EST PAS SANS LOI.
Il est tenu à des obligations PLUS EXIGEANTES que celles de la loi, parce qu’il est sous la LOI DE CHRIST (1Corinthiens 9.21).
Son comportement est inspiré, non par la crainte d’une sanction, mais par le désir ardent de plaire à son Sauveur.
Christ est devenu la norme de sa vie (Jean 13.15; 15.12; Ephésiens 5.1, 2; 1Jean 2.6; 3.16). 
En fait, les enseignements du Seigneur dans le Sermon sur la montagne présentent un idéal PLUS ÉLEVÉ que celui de la loi.
Par exemple, pour la loi qui dit : « Tu ne tueras pas », Jésus L’ACCENTUE : « Tu ne haïras pas. »

dimanche 19 février 2017

Amour, finalité de la loi et les prophètes


En faisant du bien aux autres comme on s'attendrait que l'on fasse pour nous est un principe d'amour, car en général l'homme veut toujours le bon pour sa propre personne.

Yeshoua a réformé la loi en l'accomplissant et les prophètes par sa présence physique annoncée, en s'incarnant, Dieu avec nous (Emmanuel)

Lors de la transfiguration entre Moïse représentant la loi et Élie les prophètes, Jésus a montré physiquement, dans son illumination, à ses trois disciples aimées qu'il est la finalité du plan D'Élohim.

L'amour du  prochain est la concrétisation de la loi et les prophètes.
"Il fut transfiguré devant eux : son visage se mit à resplendir comme le soleil ; ses vêtements prirent une blancheur éclatante, aussi éblouissante que la lumière. Et voici que Moïse et Élie leur apparurent : ils s’entretenaient avec Jésus."
Matthieu 17:2-3 BDS

Dans le Camp ou Hors du Camp?


DANS LE CAMP OU HORS DU CAMP ?

Il fit approcher le taureau EXPIATOIRE, et Aaron et ses fils posèrent leurs mains sur la tête du taureau expiatoire. Moïse l’égorgea, prit du sang, et en mit avec son doigt sur les cornes de l’autel tout autour, et purifia l’autel; il répandit le sang au pied de l’autel, et le sanctifia pour y faire l’expiation. Il prit toute la graisse qui couvre les entrailles, le grand lobe du foie, et les deux rognons avec leur graisse, et il brûla cela sur l’autel. Mais il brûla au feu HORS DU CAMP le taureau, sa peau, sa chair et ses excréments, comme l’Éternel l’avait ordonné à Moïse.
Lévitique 8:14-17


Demeurons HORS DU CAMP avec Yeshoua,car DANS LE CAMP demeurent  les religions  judaïsantes, mondaines et terrestres. Ceux qui ne reconnaissent pas entièrement la place maîtresse de Yeshoua ou qui altèrent son œuvre rédemptrice par les œuvres de la Loi ou qui se laissent dominer par un clergé.

La loi et ses œuvres, le judaïsme, demeurent DANS LE CAMP et YESHOUA  son sacrifice expiatoire, sa résurrection, sa grâce, son amour et sa Gloire demeurent HORS DU CAMP.

Sur le fondement du seul sacrifice de Christ sur la croix, sacrifice expiatoire parfait et définitif, Dieu a formé l’Église, le jour de la Pentecôte, par la descente et le baptême du Saint-Esprit, et il a instauré le christianisme dans son caractère céleste comme quelque chose qui lui appartenait et en quoi il prenait plaisir. Avec ses véritables caractères tels qu’ils sont donnés dans les Écritures, le christianisme céleste offre des traits exactement opposés à ceux que nous avons notés DANS LE CAMP du JUDAÏSME.

Voici les caractéristiques du CHRISTIANISME véritable de Yeshoua et de ceux qui demeurent HORS DU CAMP:

1. Le sanctuaire chrétien est dans le ciel et non pas sur la terre. Christ est entré dans le ciel même et il paraît dans la présence de Dieu pour nous, comme ministre des lieux saints et du vrai tabernacle (Hébreux. 8:2 ; 9:24).

2. Le voile à l’entrée du lieu très saint est déchiré et nous avons une pleine liberté pour entrer dans le lieu très saint par le sang d’Yeshoua , par le chemin nouveau et vivant, à travers le voile déchiré (Hébreux. 10:19, 20). Dieu est venu vers l’homme dans la personne de Christ, et Christ est entré auprès de Dieu pour le croyant et a ouvert le chemin pour que nous puissions entrer dans le lieu très saint. Tout chrétien a sa place au-dedans du voile, dans le sanctuaire céleste.

3. Il y a ainsi un plein accès à Dieu. « Par lui nous avons, les uns et les autres (Juifs et Gentils) accès auprès du Père par un seul Esprit » (Éphésiens. 2:18).

4. Tout croyant en Christ est saint, sacrificateur royal et il a le privilège d’offrir des sacrifices spirituels à Dieu. Il n’y a pas, dans le christianisme du Nouveau Testament, de classe spéciale de sacrificateurs distincte du peuple (1 Pierre 2:5, 9).

5. Par le seul sacrifice parfait et définitif de Christ, les croyants ont la conscience purifiée, ils sont sanctifiés et rendus parfaits à perpétuité devant Dieu, et ils sont assurés que Dieu ne se souviendra plus jamais de leurs péchés ni de leurs iniquités (Hébreux. 9:14 ;10:10, 14-17).

6. L’Église de Christ est composée d’un peuple qui a un lien vital avec Dieu par la nouvelle naissance, à l’exclusion de ceux qui n’ont qu’un lien extérieur avec Dieu par la naissance naturelle, comme c’était le cas en Israël. Seuls ceux qui sont « nés de nouveau » font partie de l’Église et peuvent adorer Dieu « en esprit et en vérité » (Jean 3:3 ; 4:24). Il n’y a pas de mélange — sauvés et non sauvés — dans le culte de la vraie Église.

7. Le christianisme est absolument, formellement céleste. « Notre bourgeoisie est dans les cieux » (Philippiens. 3:20). Il ne convient donc pas à l’homme dans la chair, il est au contraire un scandale pour un homme naturel. Ainsi l’opprobre de la croix et le rejet de Christ sont liés au vrai culte chrétien. « Tous ceux qui veulent avoir une belle apparence dans la chair, ceux-là vous contraignent à être circoncis (le judaïsme) ; seulement afin qu’ils ne soient pas persécutés à cause de la croix de Christ » (Galates. 6:12).


La victime est brûlée HORS DU CAMP, et c’est la part du chrétien. Il est mort au péché ; il a été crucifié au monde par le corps de Christ.

Ceux qui sont DANS LE CAMP ne peuvent comprendre la fin de l’homme dans la chair. Aucun de ceux qui y restent n’a jamais reconnu l’impossibilité totale d’améliorer l’homme ni accepté que son jugement est définitif. Tous les éléments qui composent la chrétienté de nos jours, comme en tout temps, prouvent cette incapacité du monde à comprendre que l’homme est perdu et inaméliorable. Les innombrables associations pour la tempérance, pour les œuvres de relèvement, etc., en sont la preuve.

Ceux qui composent le CAMP ne peuvent se croire perdus, ou ne donnent jamais à ce mot son vrai sens.


 « Une RELIGION MONDAINE, formant un système dans lequel le monde peut marcher et dans lequel l’élément religieux est adapté à l’homme sur la terre, est la NÉGATION DU CHRISTIANISME ».


Quel contraste entre une religion terrestre comme celle d’Israël judaïque, et la religion céleste que possèdent les chrétiens.


Les Consacrés en Yeshoua sont à la fois HORS DU CAMP où ils ont trouvé Christ ici-bas, et AU-DEDANS DU VOILE, où ils trouvent Christ dans les lieux célestes.

Israël judaïque est DANS LE CAMP sans Christ et HORS DU VOILE sans Christ.

Le sang est dans les lieux saints et sans Christ on ne peut s’en approcher ; le ciel est fermé pour  ceux qui demeurent DANS LE CAMP  et ils n’ ont aucun accès possible devant Élohim. .

Le CAMP, et qu’est-ce que le CAMP ? :

Une relation RELIGIEUSE TERRESTRE avec Dieu, hors du sanctuaire, établie dans ce monde, avec des prêtres ordonnés entre l’homme et Dieu.

Le CAMP n’est pas le monde, mais une RELIGION DE CE MONDE.

Ce système, d’abord établi de Dieu, pour prouver expérimentalement à l’homme que Dieu ne peut habiter au milieu d’un peuple souillé par le péché, ce système avait été rompu dès le premier essai qui en avait été fait en Sinaï.

À peine le peuple avait-il accepté la loi, qu’il avait fait le veau d’or, se prosternant devant une idole.

Alors Moïse avait dressé la tente d’assignation HORS DU CAMP, où Dieu ne pouvait rester.

Dieu consentit ensuite et pour un temps à renouveler l’expérience, à RENTRER AU CAMP avec le TABERNACLE, et en Canaan avec le TEMPLE, tout en s’y cachant dans une profonde obscurité et en INTERDISANT au peuple l’entrée du sanctuaire.

Ensuite, quand la vérité fit place aux ombres de la loi, il descendit au milieu de son peuple dans la personne D’EMMANUEL.

Mais alors, Israël ne voulut pas avoir Dieu avec lui DANS LE CAMP. — Il le jeta dehors, le crucifia, ne lui octroya pas même DANS LE CAMP une place où poser ses pieds.

Ainsi, avant que Dieu entre DANS LE CAMP, Israël y établit une idole ; quand Dieu vient y demeurer, Israël le rejette et crucifie son Sauveur. « JÉSUS A SOUFFERT HORS DE LA PORTE ».

Mais là, il a accompli l’expiation. Au lieu de consumer ce peuple rebelle, il a été consumé lui-même, afin de le sanctifier par son propre sang.

Tel était LE BUT DE  LA GRÂCE.

Mais ce malheureux peuple a préféré rester DANS SON CAMP quand Dieu N'Y ÉTAIT PLUS.

Les fidèles, comme autrefois à la tente d’assignation, devaient sortir HORS  DU CAMP pour RENCONTRER DIEU.

Il en était ainsi pour ces Hébreux, il en est de même aujourd’hui pour le chrétien

SORTONS HORS DU CAMP !!!

La Loi de la FOI


Alors, est-ce qu’il y a encore des raisons de se vanter ? Non, pas du tout ! Pourquoi donc ? Parce que, ce qui compte, ce n’est pas d’obéir à la loi, C'EST DE CROIRE. Oui, nous pensons ceci : les êtres humains sont rendus justes parce qu’ils croient, et non parce qu’ils font ce que la loi demande.
Donc, quand nous croyons, est-ce que nous rendons la loi inutile ? Sûrement pas ! Au contraire, nous donnons à la loi toute sa valeur. Romains 3:27-28, 31

La foi renforce  l'utilité de la loi comme règle de vie, afin de nous examiner, de dépendre d’Yeshoua et de lui obéir et de réfréner nos corruptions.  La loi en tant qu'alliance des œuvres ne donne droit à rien contrairement à la foi en Christ Yeshoua.

Pourtant, nous le savons, les êtres humains ne sont pas rendus justes parce qu’ils obéissent à la loi de Moïse, mais seulement parce qu’ils croient en Jésus-Christ. Et nous aussi, nous avons cru au Christ Jésus pour être reconnus comme justes. Nous avons été reconnus comme justes en croyant au Christ, et non pas en obéissant à la loi. Non, «personne ne sera juste aux yeux de Dieu en obéissant à la loi». Galates 2:16

Vous de même, quand vous avez fait tout ce qui vous a été ordonné, dites: Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons fait ce que nous devions faire. Luc 17:10

mardi 28 mai 2013

Le calme, la confiance, la patience et la maîtrise de soi dans l'adversité et dans l'attente d'un exaucement

Genèse 49:18  J’espère en ton secours, ô Eternel !
Exode 14:13  Moïse répondit au peuple : Ne craignez rien, restez en place, et regardez la délivrance que l’Eternel va vous accorder en ce jour ; car les Egyptiens que vous voyez aujourd’hui, vous ne les verrez plus jamais.
2 Chroniques 20:17  Vous n’aurez point à combattre en cette affaire: présentez-vous, tenez-vous là, et vous verrez la délivrance que l’Eternel vous accordera. Juda et Jérusalem, ne craignez point et ne vous effrayez point, demain, sortez à leur rencontre, et l’Eternel sera avec vous !
Psaumes 37:7  Garde le silence devant l’Eternel, et espère en lui ; Ne t’irrite pas contre celui qui réussit dans ses voies, Contre l’homme qui vient à bout de ses mauvais desseins.
Psaumes 37:34   Espère en l’Eternel, garde sa voie, Et il t’élèvera pour que tu possèdes le pays ; Tu verras les méchants retranchés.
Psaumes 119:166   J’espère en ton salut, ô Eternel ! Et je pratique tes commandements.
Psaumes 119:174  Je soupire après ton salut, ô Eternel ! Et ta loi fait mes délices.
Psaumes 130:5   J’espère en l’Eternel, mon âme espère, Et j’attends sa promesse.
Esaïe 30:7  Car le secours de l’Egypte n’est que vanité et néant ; C’est pourquoi j’appelle cela du bruit qui n’aboutit à rien.
Esaïe 30:15  Car ainsi a parlé le Seigneur, l’Eternel, le Saint d’Israël : C’est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut, C’est dans le calme et la confiance que sera votre force.