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Blog chrétien. Tout pour Yeshoua Ha'Mashiach/Jésus-Christ de Nazareth !
Nous fondons notre foi sur Jean 3:16: "Oui, Dieu a tant aimé les hommes qu’il a donné son Fils, son unique, pour qu’aucun de ceux qui se confient en lui ne soit perdu, mais que chacun accède à la vie éternelle."
Davwa, Bondyé sitèlman enmen lènonm-lan, i ba yo sèl yich-li a pou tout moun ki mete konfyans yo nan li pa pèd lavi yo. Okontrè, yo ka gen lavi ki pa ka janmen fini.
Fraternellement.
Jean-Pierre LAUHON/JipÈl
7bonne-nouvelle , le 03/05/2013

L'idée m'est venue de créer un blog afin d'y mettre tous mes messages envoyés tous les jours à vingt de mes ami(e)s chrétien(ne)s.
En effet, à plusieurs reprises, les textos sms et whatsApp m'étaient redemandés.
Ce blog servira d'archives avec un plus: les commentaires que vous pourrez laisser.




mardi 15 octobre 2013

Tatouage, piercing, branding, scarifications


Dans une recherche d’émancipation, les jeunes et parfois les moins jeunes, se laissent séduire ou attirer vers des pratiques ancestrales et tribales souvent douloureuses telles que le tatouage, le piercing, le branding ou la scarification… Que peut-on rechercher au travers de ces pratiques ?
1- Le tatouage 
La découverte de Ötzi  apporte le premier témoignage de l’existence des tatouages, le plus vieil exemple de tatouage. Le tatouage est une pratique ancestrale qui remonte aux origines des peuples de l’Antiquité. Le tatouage est un art répandu de façon indépendante au sein de nombreux peuples. On n’en connaît pas l’origine (population, culture, région…) ; les différentes techniques de tatouage ont vraisemblablement été inventées ou modifiées à plusieurs reprises, simultanément ou de manière indépendante.
Cette pratique était familière aux musiciennes et aux danseuses du Moyen Empire égyptien, comme le prouvent certaines momies retrouvées. Les Mayas, en Amérique du Sud précolombienne, les Indiens d’Amérique connaissaient aussi le tatouage. Les Grecs et les Romains, pour leur part, en furent de grands utilisateurs : ils se servaient des tatouages pour marquer leurs esclaves, ce qui leur permettait de les identifier en cas de fuite. Les esclavagistes d’Afrique, d’Amérique et de l’Orient y eurent également recours.
A l’époque des persécutions chrétiennes, il semble désormais certain que de nombreux fidèles avaient pour habitude de se tatouer des symboles religieux en guise de reconnaissance au sein de leur communauté. Une fois la période des persécutions terminée, cette pratique sortit de l’anonymat et devint une profession de foi symbolique jusqu’à ce que le pape Adrien 1er en interdise l’usage en 789 après J.C.
Le tatouage n’est pas toujours volontaire : les esclaves de l’Antiquité ou, plus près de nous, les déportés des camps de concentration nazis étaient tatoués par leurs maîtres ou leurs geôliers pour signifier le fait que ces personnes ne s’appartenaient plus à elles-mêmes.
On trouve des tatouages ornementaux, magiques ou religieux, au Japon chez les samouraïs et la mafia, en Birmanie, entre autres chez les tribus berbères et nord africaines. Il en existe aussi qui indique une appartenance familiale ou tribale ou le fait qu’un pacte a été conclu : adhésion à une société secrète, lien avec une puissance spirituelle (démon, divinité païenne) comme par exemple, l’étoile à cinq pointes sur les pommettes de la figure qui signifie : « Je suis Dieu et je guéris par la force de Satan ».
Les risques d’un tatouage sont multiples, puisqu’ils peuvent être physiques, psychologiques et spirituels. Chaque tatouage introduit des substances étrangères dans le corps : encre de Chine, matières plastiques brûlées mélangées à du savon. Il faut savoir que chaque tatouage tue une partie de la peau. Le tatouage, en endommageant la peau, constitue une porte d’entrée de premier choix pour les agents infectieux graves et sérieux, comme pour une infection local des tissus qui peut amener des complications médicales.
Cette automutilation et la souffrance qui l’accompagne est souvent acceptée pour prouver ou se prouver quelque chose ! Que ne ferait-on pas pour acquérir la réputation d’un dur ? Mais ne l’oublions jamais : la mort de tissus vivants amène autre chose que la vie !
Les tatouages évoquant la rébellion ou la révolte tendent à renforcer le sentiment d’être fort et indépendant. Cela est également vrai pour ceux qui expriment la haine et la vengeance. Quant à ceux qui touchent à l’occultisme, ils contribuent à les emprisonner dans un monde spirituel contraire à celui dans lequel Dieu veut les voir évoluer.
La Bible dit : « Vous ne ferez point d’incision dans votre chair pour un mort, et vous n’imprimerez point de figures sur vous. Je suis l’Eternel. » (Lv 19 : 28)
Cette interdiction de l’Eternel a pour objectif de garder Israël dans la sainteté. En effet, Dieu ne veut pas que son peuple s’égare comme les autres peuples. Dieu est Saint. II veut garder son peuple dans la propreté du corps, de l’esprit et de l’âme afin que celui-ci puisse demeurer en communion avec Lui et goûter sans cesse à son amour.
Dieu est jaloux (Ex 20 : 5, 34 : 14, Dt 4 : 24) et Il ne veut pas que son peuple se tourne vers pratiques du paganisme et se prostitue devant les idoles. Dieu ne veut pas que son peuple tombe sous le pouvoir des puissances gouvernées par le prince des ténèbres : Satan.
Le tatouage est une marque d’assujettissement, d’esclavage ou de dépravation sexuelle… Sur le plan spirituel, il en est de même : il est la marque d’une soumission à une autorité qui se rend maître de l’individu. On ne grave pas impunément sur le corps des figures de démons, des dragons, des têtes de mort, des serpents, des chaînes ou des liens, des signes magiques, cabalistiques ou ésotériques…
Si parfois, ils ont une apparence chrétienne (croix, calvaire), ils sont sous le coup de l’interdit de Lévitique 19 : 28. Par ces tatouages, nous faisons consciemment ou inconsciemment appel à la manifestation de forces occultes qui nous enchaînent jusque dans notre âme et dans notre esprit.
 
2- Le body-piercing ou piercing
Le piercing correspond à une volonté esthétique ou une démarcation sociale. Ainsi, le piercing a pour but l’amélioration de son apparence, la volonté de se distinguer de l’ensemble de la population ou s’associer à un groupe particulier. Le piercing est aussi utilisé pour se différencier. Il est utilisé par certains pour s’opposer à l’autorité ou à la société, croyant ainsi avoir trouvé un moyen de s’affirmer, de se construire et de s’exprimer.
La perforation d’un organe, serait-ce sous prétexte d’y accrocher un bijou, n’est jamais anodine, pas plus chez des peuples dits primitifs que pour les adolescents de nos sociétés dites modernes. Dans une société qui manque singulièrement de repères et de valeurs spirituelles, chaque génération essaye de refouler son besoin de Dieu en se créant des « rites initiatiques de passage». Dans un univers matérialiste où la science a supplanté la religion, le corps est sacralisé, la douleur refoulée ou sublimée. On est bien loin des marques initiatiques des sociétés sauvages et pourtant la connotation magique (occulte) du piercing perdure. De plus, il est un moyen d’érotiser son corps, souvent associé à des pratiques sexuelles ou lié au masochisme !
Un jeune adepte du piercing affirmait : « Le piercing est une expérience spirituelle qui m’a appris à dissocier le corps de l’esprit. Comme une paix intérieure, le sentiment étrange de retourner d’où l’on vient. »
Le piercing a été remis au goût du jour par trois groupes de personnes :
  • Les punks qui arrangent leurs tenues vestimentaires avec beaucoup d’imagination et de cynisme pour attirer l’attention sur eux et choquer : vêtements déchirés, tenues en sacs poubelles, chaînes à vélo, bottes à pointes d’acier, cuirs cloutés, ceintures à pointes et colliers de chiens, épingles à nourrice dans le nez, les joues ou les sourcils, croix gammées, lames de rasoir et crucifix accrochés à l’oreille, crêtes iroquoises aux couleurs flamboyantes, avec si possible un rat sur l’épaule ! A l’opposé du naturel prôné par les hippies, les punks arborent ostensiblement les ordures de la société de consommation pour signifier le refus de ses valeurs. Le piercing suggère la sauvagerie, manière cynique d’insinuer qu’elle est chez nous et non pas chez les peuples dits primitifs ; il fait aussi référence aux perversions, aux déviances, à l’obscénité, à la rébellion, à la violence… et au déni de soi ! Tout ce qui est dérangeant et choquant pour notre société est utilisé.
  • Les néo-primitifs: contrairement aux punks qui expriment leur désespoir au travers du piercing, les néo-primitifs le considèrent comme un embellissement, un enrichissement émotionnel, spirituel et sexuel. II s’agit, disent-ils, de faire du corps une oeuvre d’art affirmant par là améliorer ce que le créateur de ce corps aurait façonné imparfait et laid. Ils affirment aussi sanctifier cette œuvre d’art par le sang et d’étranges stigmates. En résumé, les prétentions esthétiques et « culturelles » de ce mouvement cachent un mélange de primitivisme, de sadomasochisme et d’orgueil à se placer au-dessus du Dieu créateur. En fait, il n’est pas difficile d’y reconnaître une perversion singulière et des tendances pathologiques à l’automutilation voire à l’autodestruction.
  • Les milieux fétichistes ou sadomasochistes : Depuis un certain temps déjà, la mode s’est emparée des accessoires et de l’imagerie agressive du sadomasochisme : corps mis en évidence par des tenues moulantes, piercings et tatouages. La mode fétichiste est l’héritière de trois bouleversements :
    • les mouvements féministes des années 60, qui dénoncent l’image de « la femme-objet », revendiquent leur place avec colère et entrent dans des luttes de pouvoir ;
    • le mouvement homosexuel qui jette le trouble, oblige à repenser la sexualité, bouleverse les repères et répand l’androgynie;
    • la mode qui s’imprègne d’érotisme pervers ; de nombreux stylistes se font alors un peu partout un nom dans le genre fétichiste en créant des vêtements moulants et très suggestifs quant aux formes des corps. Depuis les années 70, le phénomène n’a cessé de s’amplifier. Il en résulte une banalisation du piercing, du tatouage et d’apparences pervers (tenues vestimentaires et comportements éhontés…), et l’abandon des derniers tabous. Depuis plusieurs années, les homosexuels, sadomaso et autres « love parades » fleurissent un peu partout dans les grandes villes rendant visible diverses perversions, le mélange des repères moraux (et le flou en résultant)… bref le malaise ambiant de notre société.
Tout ceci amène l’idée que pour « être » reconnu il faut d’abord « paraître », et pour « paraître » il faut « souffrir ». Sur le plan physique, lors de la mise en place de leur piercing, certains subissent des chutes de tension sérieuses et graves, d’autres s’évanouissent... Tout le monde s’accorde à reconnaître le piercing douloureux, ennuyeux, compliqué à gérer. II faut prendre soin de ses bijoux, observer une hygiène irréprochable, combattre les infections, éviter parfois les vêtements ajustés, le tabac, le maquillage et autres substances irritantes, s’abstenir dans certains cas de relations sexuelles. Ceux qui se font piercer la langue en sont contraints à ingurgiter une alimentation liquide...
 
3- Le branding et les scarifications
Le piercing venant à être commun et dépassé, les cicatrices volontaires deviennent « tendance ». Après le piercing et le tatouage, c’est le retour des cicatrices tribales au goût du jour chez les jeunes Occidentaux urbains.
Aujourd’hui, les modes se suivent rapidement : l’une des dernières nouveautés s’appelle le « branding », c’est-à-dire le marquage d’un sigle ou d’un dessin au fer rouge sur la peau. « Une seconde d’exposition à un bout de métal brûlant, un grésillement, un soupçon de fumée et voici que débute une oeuvre artistique » raconte un adepte du branding.
Le marquage au fer n’est pas nouveau. On y avait recours sur les criminels et les esclaves. Les Français marquaient au fer rouge les criminels d’une fleur de lys sur l’épaule, afin d’en faire pour toujours des parias dans le monde civilisé. Puis ce fut le tour des protestants de recevoir cette marque. Jusqu’au 18ème siècle, on marqua les voleurs de la lettre « S », pour en faire des serviteurs. Un retour du marquage est venue dans les années 20 et 30 lorsque cela est devenu très populaire, au sein d’une même fraternité, de montrer leur soumission à l’organisation par ce moyen. La pratique existe toujours et de nombreuses célébrités portent gravées dans leur peau les lettres grecques de leur fraternité.
Après le branding, les adeptes se voient proposé les scarifications pour, d’après eux, revenir aux sources ethniques profondes de nos origines. Ces cicatrices sont perçues comme belles par les ethnies qui les pratiquent. Signes de courage, elles possèdent surtout des pouvoirs magiques puisqu’elles marquent une soumission à un ou plusieurs dieux ou démons.
Un des pionniers de la pratique en France a dit : « Chez nous, cela rejoint toujours la démarche tribale pour représenter et changer quelque chose en soi. C’est vraiment une modification profonde ; psychologiquement, c’est le sens rituel qui ressort, certains changent même de noms après. C’est pour changer de statut, te faire avancer... On s’attendait à des gens qui avaient déjà une culture tribale. On a eu des tatoués, mais petit à petit d’autres sont venus. J’ai scarifié des gens non-tatoués, non-piercés, mais pour qui la scarification faisait partie d’une quête personnelle. Ce n’est pas uniquement décoratif, c’est bien plus brut que ça... L’intéressant, c’est le passage à l’acte, faire le choix de se réapproprier, voire de renforcer son identité, même si ce n’est pas toujours conscient au départ. Le rituel est parfois vital dans certaines tribus. Ici, cela rejoint un peu ces considérations. »
Inutile de préciser que ces pratiques sont très douloureuses, et cela durant un certain temps. Le branding par exemple, produit une brûlure au deuxième ou au troisième degré, avec un risque élevé d’infection. Certains jeunes Africains vivant chez nous se posent des questions en voyant ces Occidentaux, alors qu’ils sont si heureux d’avoir échappé, parfois de peu, aux cérémonies traditionnelles de leur pays. Et un journaliste d’écrire : « C’est clair, un petit tour en Afrique ferait le plus grand bien à certains. Car à voir les timbrés et autres fondus du citron de nos contrées qui se gravent des âneries cabalistiques un peu partout... »
 
4- Le seul chemin de la liberté
Toutes les pratiques ancestrales comme le tatouage, le piercing, le branding ou la scarification ne mènent qu’à se placer sous la domination de puissances ténébreuses… Leur finalité est toujours la destruction de l’individu, dans son corps et dans son être intérieur : « Esclaves des marques ou marques d’esclaves »…
La Bible invite à une tenue modeste et décente (1 Ti 2 : 9). Un des aspects d’un habillement modeste est de faire en sorte que tout ce qui doit être couvert par des vêtements soit bien couvert. Cependant, la signification essentielle de la modestie est de ne pas attirer l’attention sur nous. Ceux qui s’habillent modestement le font de façon à ce qu’ils n’attirent pas l’attention sur eux (sans pour autant suivre la mode fétichiste !). Le but des tatouages et des piercings est d’attirer l’attention... En ce sens, tatouages et piercings ne sont pas modestes.
Par ailleurs, des textes bibliques nous mettent en garde contre « les marques sur le corps » :
  • Dans l’Ancien Testament, l’interdiction de graver ou inciser la peau est clairement instituée : « Vous ne ferez point d’incisions dans votre chair pour un mort et vous n’imprimerez point de figures sur vous. Je suis l’Eternel » (Lv 19 : 28 ; lire aussi Dt 14 : 1).
  • Esaïe dénonce les anneaux de nez parmi d’autres marques de suivi de la mode ainsi que les « boucles qui servent d’ornement aux pieds », les chaînettes aux chevilles, les boucles d’oreilles… (Es 3 : 16 à 21).
  • Les prophètes de Baal se faisaient des incisions pour essayer d’obtenir des réponses de leur dieu et pour marquer leur appartenance au groupe des adorateur de Baal : « Et ils crièrent à haute voix, et ils se firent, selon leur coutume, des incisions avec des épées et avec des lances, jusqu’à ce que le sang coulât sur eux » (1 Rs 18 : 28).
  • Certaines personnes se faisaient des marques sur le corps à l’occasion d’enterrements (Jr 16 : 6)
  • Jérémie mentionne que des hommes d’Israël s’en étaient fait pour aller à la maison de l’Éternel, et furent égorgés peu après par Ismaël fils de Nethania (Jr 41 : 5 à 7).
  • Les peuples ennemis du peuple de Dieu, comme les philistins (Jr 47 : 5) ou les moabites (Jr 48 : 36 et 37) s’en faisaient.
  • L’action du malin dans un homme l’amène à dégrader son corps (Marc 5:5)
Par ailleurs, il est expressément demandé aux enfants d’Israël et particulièrement aux serviteurs de Dieu de ne pas se faire de telles marques (Lv 21 : 5) sachant que le symbole profond de ces marques est l’esclavage aux puissances des ténèbres qui promettent la liberté et la pleine gouvernance de sa vie : « vous serez comme des dieux » (Gn 3 : 5). En réalité ces puissances poussent à l’autodestruction et à l’automutilation (Jb 2 : 7 et 8 ; Mc 5 : 1 à 10). Cette voie n’est pas pour la libération… Seul Dieu peut « détacher les chaînes de la méchanceté, dénouer les liens de la servitude, renvoyer libres les opprimés et rompre toute espèce de joug » (Es 58 : 6).
Si dans nos cœurs nous sommes prêts à changer de vie et d’état d’esprit, Dieu Lui-même nous conduira à la vie telle qu’Il l’entend. Soulignons-le, il ne suffit pas d’être sincère, il faut chercher Dieu de tout son cœur, Lui demander qu’Il se révèle. Ensuite il faut Le croire et Le suivre, dans l’obéissance et la pratique d’une vie saine.
Dieu n’a jamais fermé la porte de la Vie à celui qui frappe et Le cherche (Ps 116 : 1 à 9 et Ap 3 : 20). Bien plus, Il nous a donné la possibilité de changer, en Jésus-Christ. Seulement, ne perdons pas patience, car Dieu met tout en oeuvre pour nous restaurer dès que nous aurons décidé de Le suivre , mais parfois le processus peut être long… Dieu nous respecte toujours et agit en nous dans le cadre d’une construction durable…
Dieu guérit les conséquences de nos péchés que ce soit le mal être, la paranoïa, la folie, les cauchemars… Il nous délivre de la culpabilité et de la honte.
 
Rappelons-nous ceci :
  • « notre corps est le temple du Saint-Esprit » (1 Co 6 : 19)
  • « Le Seigneur est pour le corps, et le corps pour le Seigneur » (1 Co 6 : 13)
  • « Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? ..., car le temple de Dieu est saint, et tel vous êtes » (1 Co 3 : 16 et 17)
source Théonoptie


Autre article sur le sujet, lien : Tatouage

3 commentaires:

  1. Shalom Cher Lauhon, Chers tous, Chères toutes,
    Mon Frère, Bien-Aimé en JÉSUS-CHRIST, je suis très content de te retrouver sur ce grand Champs d'évangélisation. En bloguer de choix, tu produis du Contenu riche, enrichissant, bénéfique et surtout utile pour enseigner les hommes, femmes et enfants, aujourd'hui prisonniers de la conformité aux habitudes et coutumes du monde contemporain, et même ancestrales, tel que tu nous le fais découvrir ici. Le Chrétien a aussi de quoi se régaler, car tu introduis méthodiquement l'Offre proposée par LA Sainte Bible, sans trop se presser, ni trop faire attendre. Livrant à temps LE MESSAGE DU SALUT ENCORE POSSIBLE pour tous ceux qui décideront de changer à la lecture de cet Article ; pour lui c'est un exemple de démarche à suivre pour présenter LA MESSAGE ÉVANGÉLIQUE avec une plus véritable CONVICTION. Voilà LA BONNE NOUVELLE DU SALUT, tel que LE Seigneur JÉSUS-CHRIST l'a présenté au monde et qu'IL souhaite nous voir LE présenter à l'Attention de cette humanité qui est dans le besoin et même qui souffre les douleurs de l'enfantement, dans l'attente du Retour du FILS du DIEU Vivant. Ton article, mon Frère Bien-Aimé, atteste de l'état actuel de ton âme. Il laisse entrevoir le niveau Spirituel qui est le tien aujourd'hui; il me permet d'être fier de ta Croissance. Aujourd'hui, je peux aussi, à partir de de cet article voir déborder La Paix que tu as laissé envahir et remplir ton cœur.
    Tu as passé en revue LA SAINTE BIBLE, puisant à LA Source du Savoir, ce qu'il t'a été donné de partager, cependant, il y a des choses que tu aurais aussi dû ajouter, mentionner et même sur lesquelles j'aurai souhaité te voir insister. Mais, il est encore temps et c'est un article de Blog; donc, il peut-être réviser et se nourrir des interventions des lecteurs, pour évoluer dans le Sens de Parfaire la partie humaine de l’œuvre de DIEU, non pas comme comme le tatoué ou le "piercé" qui voudrais faire mieux que DIEU LE Créateur; mais comme le serviteur qui sait qu'il fait de son mieux et qu'un autre membre du même corps peut lui apporter une aide capable de compléter le merveilleux travail qui a déjà été fait pour LA GLOIRE de L’ÉTERNEL. En effet, j'aurai souhaité, et tu l'a deviné et je suggère d'ailleurs, que tu puisses méditer (ou te servir de tes méditations antérieures) sur le chiffre de la bête en te souvenant qu'il sera tatoué ou "brandé" (estampillé) sur le front et sur la main. Avec la pratique des puces génétiques qui commence à avoir cours, on en est pas loin. LE Peuple de DIEU doit être mis en garde. Il y a aussi d'autres point qui peuvent contribuer à parfaire cette œuvre déjà très riche et enrichissante.
    Je présenterai ton Blog comme un exemple de Blog chrétien s'appuyant sur L'AMOUR tel que DIEU, en JÉSUS-CHRIST l'a exprimé, LUI qui accueillait tous les parias qui acceptaient de l'écouter et qui étaient prêts à changer de manière de vivre en abandonnant le péché pour se CONSACRER à une vie de Service pour LA Seule Gloire de DIEU.

    Puisse L’ÉTERNEL toucher les cœurs de tous ceux qui ont déjà lu et de tous ceux qui liront cet articles, afin que leur conversion et donc leur SALUT puisse passer par ce canal qui a encore, je le souhaite et c'est ma prière, beaucoup de contenus pertinents à produire.

    Que LE DIEU Bienheureux multiplie en toi LA Connaissance vraie de SA Parole de VIE, afin que tu continu à SEMER l’Évangile d'AMOUR tel que LE CHRIST l'attend de SES Évangélistes.

    Chrétiennement,
    --sb.
    " Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu’il mange est condamné, parce qu’il n’agit pas par ‪#‎CONVICTION‬. Tout ce qui n’est pas le produit d’une CONVICTION est péché. "
    ‪‬ (#Romains14:23)

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    1. Sois béni en abondance mon cher frère en Christ. Dieu connaît ton coeur.

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