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Blog chrétien. Tout pour Yeshoua Ha'Mashiach/Jésus-Christ de Nazareth !
Nous fondons notre foi sur Jean 3:16: "Oui, Dieu a tant aimé les hommes qu’il a donné son Fils, son unique, pour qu’aucun de ceux qui se confient en lui ne soit perdu, mais que chacun accède à la vie éternelle."
Davwa, Bondyé sitèlman enmen lènonm-lan, i ba yo sèl yich-li a pou tout moun ki mete konfyans yo nan li pa pèd lavi yo. Okontrè, yo ka gen lavi ki pa ka janmen fini.
Fraternellement.
Jean-Pierre LAUHON/JipÈl
7bonne-nouvelle , le 03/05/2013

L'idée m'est venue de créer un blog afin d'y mettre tous mes messages envoyés tous les jours à vingt de mes ami(e)s chrétien(ne)s.
En effet, à plusieurs reprises, les textos sms et whatsApp m'étaient redemandés.
Ce blog servira d'archives avec un plus: les commentaires que vous pourrez laisser.




jeudi 21 novembre 2013

L'Epoux et l'épouse

Esaïe 62:4  On ne te nommera plus délaissée, On ne nommera plus ta terre désolation ; Mais on t’appellera mon plaisir en elle, Et l’on appellera ta terre épouse ; Car l’Eternel met son plaisir en toi, Et ta terre aura un époux.
 
Dans ce texte, le Fils de Dieu rappelle à Son église Son amour inlassable, et rappelle aussi qu’Il la mentionne devant le Père, dans tout son cheminement et ses difficultés. Cette église aura un nouveau nom, un nom merveilleux, qu’elle n’a jamais porté jusqu’à présent.
Avant la prédication de l’Évangile, le degré de la véritable piété dans le monde ne semblait pas être un souci pour l’homme. Dieu, dans sa grâce, a apporté cette « bonne Nouvelle » à Son église, selon Son bon plaisir !
Soyons donc enclins à rechercher tout ce qui concerne la sainteté. Si le Seigneur, dans Son amour, se réjouit en nous, nous devrions en retour nous réjouir dans Son service !
 
Esaïe 54:5  Car ton créateur est ton époux : L’Eternel des armées est son nom ; Et ton rédempteur est le Saint d’Israël : Il se nomme Dieu de toute la terre ;
 Jean 3:29  Celui à qui appartient l’épouse, c’est l’époux ; mais l’ami de l’époux, qui se tient là et qui l’entend, éprouve une grande joie à cause de la voix de l’époux : aussi cette joie, qui est la mienne, est parfaite.
2 Corinthiens 11:2  Car je suis jaloux de vous d’une jalousie de Dieu, parce que je vous ai fiancés à un seul époux, pour vous présenter à Christ comme une vierge pure.
Ephésiens 5:25  Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l’Eglise, et s’est livré lui-même pour elle,
Ephésiens 5:26  afin de la sanctifier par la parole, après l’avoir purifiée par le baptême d’eau,
Ephésiens 5:27  afin de faire paraître devant lui cette Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible.
Apocalypse 21:2  Et je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s’est parée pour son époux.
Apocalypse 21:9   Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes remplies des sept derniers fléaux vint, et il m’adressa la parole, en disant : Viens, je te montrerai l’épouse, la femme de l’agneau.
Apocalypse 21:10  Et il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne. Et il me montra la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel d’auprès de Dieu,
 
Esaïe 62:4 On ne te nommera plus Délaissée.  

 
Délaissé est un terme lugubre qui sonne comme un glas. C’est le souvenir des plus profondes douleurs, le présage des maux les plus cruels. Un abîme de misère s’entr’ouvre devant nous à ce mot : « Délaissé ! » 
Délaissé par quelqu’un qui a juré votre honneur ! Délaissé par un ami éprouvé en qui vous aviez confiance ! Délaissé par un proche auquel vous êtes attaché ! Délaissé par père et mère ! Délaissé par tous ! Terrible malheur ; et cependant il peut être supporté avec patience, si l’Éternel nous recueille.
 
Mais être délaissé de Dieu ! Songez à ce cri, le plus amer de tous : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » Avons-nous jamais à ce degré goûté l’absinthe et le fiel contenus dans ce mot : « Abandonné, » au sens où le Christ l’a éprouvé ? Si c’est le cas, supplions le Seigneur de ne jamais renouveler l’expérience de tristesse pareille, de ne plus retomber dans de telles ténèbres ! Dans leur malice, des hommes ont pu s’écrier en face d’un saint de Dieu : « Dieu l’a abandonné ; poursuivez-le et saisissez-le. » Mais ils se trompent toujours, car notre Dieu obligera ses ennemis à retirer leurs paroles, ou même à garder le silence.
 
Tout le contraire est cette appellation : « Mon plaisir en toi. » C’est la joie après les larmes. Que ceux qui se sont crus délaissés écoutent donc cette voix du Seigneur : « Je ne te délaisserai point ; je ne t’abandonnerai point ! »
 
Ce passage est très symbolique. Ésaïe reprend la métaphore conjugale  pour décrire l’union intime entre l’Éternel et son peuple. La terre d’Israël partagera l’honneur fait à ses habitants. Aujourd’hui, elle a plutôt un air abandonné. Comme le peuple, elle a été délaissée par son Dieu, son époux, à cause de l’idolâtrie, de l’exil puis du rejet du Messie.
   Mais à la fin des temps, quand le peuple sera réconcilié avec l’Éternel, la terre d’Israël jouira aussi de cette relation rétablie et fera le plaisir de Dieu et des yeux par sa beauté.
 

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