Le Seigneur use de patience car le Salut est ici-bas et offert à tous... Mais peu d'élus, ce qui discrédite la doctrine de la seconde chance et de l'universalisme.
Élohim prend son temps afin que tous ses élus soient sauvés et non afin que l'humanité entière justes et impies soient sauvés, comme le pensent les adeptes de l'universalisme. Le salut passe par la repentance et la conversion sur cette Terre et non dans l'au delà ou après être ressuscité. C'est lors de notre passage sur terre que tout est déterminant.
Romains 2:4 Ou méprises-tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité, ne reconnaissant pas que la bonté de Dieu te pousse à la repentance ?
1 Timothée 2:4 qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité.
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2 Pierre 3:9 Le Seigneur n’est pas en retard dans l’accomplissement de sa promesse, comme certains se l’imaginent, il fait simplement preuve de patience à votre égard, car il ne veut pas qu’un seul périsse. Il voudrait, au contraire, que tous parviennent à se convertir.
Adorable miséricorde de Dieu ! Il veut le salut de tous ; le monde subsiste pour permettre à ceux qui doivent être sauvés de parvenir au salut par la voie de la repentance et de la conversion.
On a cité ce verset pour appuyer la doctrine de l’universalisme ; il enseigne en fait juste le contraire. Le vrai sens est qu’après la seconde venue, prélude du jugement de Christ, il n’y aura plus d’occasion de se repentir ; c’est pourquoi Dieu, dans sa miséricorde, laisse le plus de temps possible aux hommes pour qu’ils puissent le faire à présent.
C’est de cette façon que le Seigneur agit. En Apocalypse 3:20, nous lisons que Jésus dit : « Voici, je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu’un entend ma voix et qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi. » Dieu désirant que « tous les hommes soient sauvés » (1Timothée 2:4), le Seigneur frappe à la porte du cœur de chacun ; s’il n’y a pas de réponse, il frappe à nouveau et encore, et encore. En même temps, il envoie des signes au monde, des signes de plus en plus forts. Le Seigneur appelle de façon toujours plus pressante tous les hommes à la repentance, à accepter le salut qu’il offre par la foi en lui.
Car la patience du Seigneur aura une fin : ce sera l’instant où il appellera son Église, son Épouse, à être avec lui. Ce jour est proche, nous le voyons au travers de tous les événements qui se déroulent dans le monde. Notre rôle n’est pas simplement de l’attendre passivement mais au contraire en invitant activement tous ceux que nous rencontrons à ouvrir la porte au Seigneur pendant que nous sommes encore au temps de sa patience. Bientôt il sera trop tard ; alors viendra, pour ceux qui n’auront pas répondu aux appels de Jésus, le temps des « pleurs et des grincements de dents » (Matthieu 8:12).
Romains 2:4 Ou méprises-tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité, ne reconnaissant pas que la bonté de Dieu te pousse à la repentance ?
1 Timothée 2:4 qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité.
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2 Pierre 3:9 Le Seigneur n’est pas en retard dans l’accomplissement de sa promesse, comme certains se l’imaginent, il fait simplement preuve de patience à votre égard, car il ne veut pas qu’un seul périsse. Il voudrait, au contraire, que tous parviennent à se convertir.
Adorable miséricorde de Dieu ! Il veut le salut de tous ; le monde subsiste pour permettre à ceux qui doivent être sauvés de parvenir au salut par la voie de la repentance et de la conversion.
On a cité ce verset pour appuyer la doctrine de l’universalisme ; il enseigne en fait juste le contraire. Le vrai sens est qu’après la seconde venue, prélude du jugement de Christ, il n’y aura plus d’occasion de se repentir ; c’est pourquoi Dieu, dans sa miséricorde, laisse le plus de temps possible aux hommes pour qu’ils puissent le faire à présent.
C’est de cette façon que le Seigneur agit. En Apocalypse 3:20, nous lisons que Jésus dit : « Voici, je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu’un entend ma voix et qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi. » Dieu désirant que « tous les hommes soient sauvés » (1Timothée 2:4), le Seigneur frappe à la porte du cœur de chacun ; s’il n’y a pas de réponse, il frappe à nouveau et encore, et encore. En même temps, il envoie des signes au monde, des signes de plus en plus forts. Le Seigneur appelle de façon toujours plus pressante tous les hommes à la repentance, à accepter le salut qu’il offre par la foi en lui.
Car la patience du Seigneur aura une fin : ce sera l’instant où il appellera son Église, son Épouse, à être avec lui. Ce jour est proche, nous le voyons au travers de tous les événements qui se déroulent dans le monde. Notre rôle n’est pas simplement de l’attendre passivement mais au contraire en invitant activement tous ceux que nous rencontrons à ouvrir la porte au Seigneur pendant que nous sommes encore au temps de sa patience. Bientôt il sera trop tard ; alors viendra, pour ceux qui n’auront pas répondu aux appels de Jésus, le temps des « pleurs et des grincements de dents » (Matthieu 8:12).
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