Juger son frère est une tendance très profondément ancrée dans le cœur humain.
Il n’est pas interdit de juger les choses ou un enseignement ; nous y sommes encouragés.
— nous le voyons, par exemple, en 1 Corinthiens 2:15 ; 10:15
"Celui qui a cet Esprit peut, lui, juger de tout, sans que personne ne puisse le juger. Car il est écrit :..."
1 Corinthiens 2:15 BDS
"Je vous parle là comme à des gens raisonnables : jugez vous-mêmes de ce que je dis."
1 Corinthiens 10:15 BDS
— mais JUGER DES PERSONNES est défendu.
L’assemblée est appelée à juger, dans certains cas, ceux qui en font partie, comme 1 Corinthiens 5 et 6 l’indiquent; problèmes moraux dans l'assemblée, inceste, différents, et litiges entre frères, inconduites,
mais à part cela, le jugement des personnes est une PRÉROGATIVE, un PRIVILÈGE exclusif du Seigneur Yeshoua qui seul peut juger.
Si, en dépit de l’interdiction du Seigneur, nous nous y complaisons, deux peines suivront immanquablement, comme Jésus le dit ici. D’abord, nous serons nous-mêmes jugés, et il nous sera mesuré de l’exacte mesure dont nous aurons mesuré les autres. Secondement, nous serons entraînés dans l’hypocrisie. Dès le moment où nous nous mettons à juger les autres, nous devenons aveugles à nos propres défauts.
La petite imperfection de notre frère prend une proportion énorme à nos yeux, et nous n’avons pas du tout conscience de notre propre gros défaut, de nature à fausser notre vue spirituelle.
La forme de jugement LA PLUS PROFITABLE pour chacun de nous est le JUGEMENT DE SOI-MÊME.
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