Les nations ont pris leurs origines des trois fils de NOÉ: SEM, CHAM et JAPHET.
Génèse 6:10
Génèse 6:10
Nous nous intéresserons à CHAM , fils de NOÉ, maudit par son père du fait qu'il l'a vu sa nudité.
" Cham, le père de Canaan, vit son père nu et sortit pour le raconter à ses frères. Quand Noé se réveilla de son ivresse, il apprit ce que son plus jeune fils avait fait. Alors il s’écria : – MAUDIT soit CANAAN ! Qu’il soit le dernier des ESCLAVES de ses frères ! Puis il ajouta : Béni soit l’Eternel, le Dieu de Sem, et que Canaan soit asservi à Sem ! Que Dieu étende le territoire de Japhet, qu’il habite dans les tentes de Sem et que Canaan soit leur ESCLAVE !"Génèse 9:22, 24-27 BDS
"Les fils de CHAM furent : KOUCH , MITSRAÏM, POUTH et CANAAN. Les fils de KOUCH : Seba, Havila, Sabta, Raema et Sabteka. Les fils de Raema : Cheba et Dedân . KOUCH eut aussi pour fils Nimrod qui se mit à exercer un grand pouvoir sur la terre. C’était un redoutable chasseur devant l’Eternel. De là vient l’expression : « redoutable chasseur devant l’Eternel comme Nimrod ». Les capitales de son royaume furent Babel, Erek, Akkad et Kalné au pays de CHINÉAR . De ce pays-là, il passa en Assyrie et bâtit Ninive, Rehobot-Ir, Kalah, et Résen, la grande cité entre Ninive et Kalah.
MITSRAÏM fut l’ancêtre des Loudim, des Anamim, des Lehabim, des Naphtouim , des Patrousim, des Kaslouhim – dont sont issus les Philistins – et des Crétois.
CANAAN eut pour fils Sidon, son aîné, et Heth. De lui descendent les Yebousiens, les Amoréens, les Guirgasiens, les Héviens, les Arqiens et les Siniens, les Arvadiens, les Tsemariens et les Hamathiens. Ensuite les différentes tribus des Cananéens se dispersèrent. Le territoire des Cananéens s’étendait de Sidon, en direction de Guérar, jusqu’à Gaza et en direction de Sodome, de Gomorrhe, d’Adma et de Tseboïm jusqu’à Lécha.
Tels sont les descendants de CHAM selon leurs tribus et leurs langues, dans leurs divers pays et leurs nations.
Telles sont les familles issues des fils de Noé selon leurs lignées et d’après leur appartenance nationale. C’est d’eux que sont issues toutes les nations qui se sont répandues sur la terre après le déluge."
Gn 10:6-20, 32 BDS
Les fils de CHAM se repartissent ainsi:
- KOUCH: le HAUT NIL, L'ÉTHIOPIE et la NUBIE.
Les sept nations koutchistes (fils de KOUCH) se trouvaient en Arabie.
Chinéar est l'ancienne Babylonie.
- POUTH: soit la Lybie ou la côte des Somalis
- CANAAN: Syrie et Palestine.
- MITSRAÏM : l'Égypte.
Les termes Hamites, Hamitiques, CHAMITES, Chamitiques, Khamites et Khamitiques sont d'anciens termes de linguistique et d'ethnologie qui désignaient un sous-groupe de la « race caucasienne », regroupant, en complément des populations sémites, les populations originaires d'Afrique du Nord, de la Corne de l'Afrique, de l'Arabie du Sud, ainsi que les anciens Égyptiens, parlant des langues afro-asiatiques autres que les langues sémitiques. L' « hypothèse hamitique » suggérait que la race hamite était supérieure aux populations noires d'Afrique.
La malédiction de CHAM a été porté sur CANAAN et non sur KOUCH dont les noirs sont issues.
Alors pourquoi faire porter aux nègres la malédiction destinée à CANAAN alors qu'ils sont de KOUCH ?
Les nègres sont descendants de CHAM par KOUCH, sache-le!
Toujours ce racisme des religieux blancs pour excuser la traite des noirs et l'esclavage.
IL prône un faux évangile de mensonge en se servant du livre de la genèse et de la malédiction de CHAM.
Nous devons dénoncer cette pensée religieuse raciste envers les nègres.
En Europe, l'utilisation de la MALÉDICTION DE CHAM comme justification de L'INFÉRIORITÉ des PEUPLES NOIRS et de la licéité de l'esclavage apparait au XVIIe siècle. Il semblerait que la première apparition réelle du mythe ait eu lieu dans les milieux PROTESTANTS de Hollande. Ainsi, Georg Horn, en 1666, serait le premier à avoir proposé à l'Université de Leyde une classification des races selon le modèle proposé par la Genèse de la descendance de Noé. De même, quelques années plus tard en 1677, Jean Louis Hannemann, s'appuyant sur un commentaire de la Genèse de Martin Luther, évoque dans un exposé fondamentaliste Curiosum Scrutinium nigritudinis posterorum Cham i.e. Aethiopum le fait que les ÉTHIOPIENS sont devenus NOIRS et ESCLAVES à cause de la Malédiction de Cham. (En 1578 déjà, Jean de Léry se demandait dans l'Histoire d'un Voyage fait en la Terre du Brésil si les indiens Tupi n'étaient pas des descendants de Cham, mais il s'agissait d'une hypothèse pour expliquer leur refus de se convertir, non d'un argument pour justifier leur exploitation). C'est donc dans le contexte d'un retour très littéral à la Bible, dans la mouvance de la Réforme protestante, que commence à se développer l'utilisation de la Malédiction de Cham comme instrument dialectique. Si l'on ne peut pas dire qu'il y en eut une utilisation fréquente dans ces Églises, surtout en Europe, on peut cependant dire qu'elle fut persistante jusqu'au milieu du XIXe siècle. Ainsi à titre d'exemple, le pasteur français Auguste-Laurent Montandon écrit en 1848 dans un ouvrage de catéchisme : «Il suffit de vous désigner les nègres pour vous rappeler à quel point la sentence de Noé s’est accomplie sur la postérité de Cham.»
Mais le mythe va prendre de l'ampleur et bénéficier d'un écho plus réel dans les États-Unis d'Amérique, au fur et à mesure que le phénomène de la TRAITE DES NOIRS s'amplifie. On se rend compte en fait que la Malédiction de Cham est également un objet de débat entre les partisans de l'esclavagisme et ceux de l'antiesclavagisme :
En juin 1700, le juge Samuel Sewall de Boston, écrit : « C’est Canaan qui a été maudit trois fois, mais Cham n’a pas été mentionné. (...) Or les Noirs ne descendent pas de CANAAN, mais de KOUCH. »
En 1762, un John Woolman avait, lui aussi, publié un traité dans lequel il montrait que l’exploitation de cette malédiction biblique pour justifier l’esclavage « est trop GROSSIÈRE pour être admise par l’esprit de quiconque souhaite sincèrement gouverner sa vie d’après des principes sensés ».
En 1837, le révérend Théodore Weld, antiesclavagiste lui aussi, écrit dans un tract qui eut une diffusion importante : « la prophétie de Noé est le vade mecum qui accompagne tout le temps les esclavagistes, et ils ne s’aventurent jamais à l’extérieur sans elle ».
Au milieu du XIXe siècle, les PARTISANS DE L'ESCLAVAGE, tels que John Fletcher en Louisiane, ou Nathan Lord, président du collège de Dartmouth, enseignaient que le péché qui a provoqué la malédiction prononcée par Noé était un mariage interracial. Ils laissaient entendre que CAÏN avait été également affligé d’une peau noire pour avoir tué son frère Abel, et que CHAM avait péché en contractant un mariage interdit avec quelqu’un de la race de CAÏN.
Dans la société américaine du XIXe siècle, où le débat sur l'esclavage va en s'amplifiant jusqu'au point de devenir une des raisons de la Guerre de Sécession, l'argument religieux de la MALÉDICTION DE CHAM est donc utilisé pour soutenir indifféremment l'un et l'autre des partis en présence.
En 1762, un John Woolman avait, lui aussi, publié un traité dans lequel il montrait que l’exploitation de cette malédiction biblique pour justifier l’esclavage « est trop GROSSIÈRE pour être admise par l’esprit de quiconque souhaite sincèrement gouverner sa vie d’après des principes sensés ».
En 1837, le révérend Théodore Weld, antiesclavagiste lui aussi, écrit dans un tract qui eut une diffusion importante : « la prophétie de Noé est le vade mecum qui accompagne tout le temps les esclavagistes, et ils ne s’aventurent jamais à l’extérieur sans elle ».
Au milieu du XIXe siècle, les PARTISANS DE L'ESCLAVAGE, tels que John Fletcher en Louisiane, ou Nathan Lord, président du collège de Dartmouth, enseignaient que le péché qui a provoqué la malédiction prononcée par Noé était un mariage interracial. Ils laissaient entendre que CAÏN avait été également affligé d’une peau noire pour avoir tué son frère Abel, et que CHAM avait péché en contractant un mariage interdit avec quelqu’un de la race de CAÏN.
Dans la société américaine du XIXe siècle, où le débat sur l'esclavage va en s'amplifiant jusqu'au point de devenir une des raisons de la Guerre de Sécession, l'argument religieux de la MALÉDICTION DE CHAM est donc utilisé pour soutenir indifféremment l'un et l'autre des partis en présence.
À la même époque en Europe, l'Église Catholique met un point final à la discussion sur l'immoralité de l'esclavage et l'obligation de l'abolir, au travers d'une série de trois encycliques : In supremo apostolatus fastigio, In Plurimis et Catholicae Ecclesiae. De façon constante, on constate que le magistère catholique ne cite pas une seule fois la fameuse malédiction ni à charge ni à décharge. Néanmoins l'interprétation particulière de la Malédiction de Cham est désormais diffusée un peu partout dans les milieux chrétiens ou non qui sont proches du sujet de l'esclavage et de la colonisation, puisqu'on trouve même sous la plume du cardinal Charles Martial Lavigerie, antiesclavagiste acharné et fondateur des institutions missionnaires des Pères Blancs la citation suivante : « L'Afrique est un siège immense que la miséricorde divine semble préparer pour mettre un terme à la malédiction de la pauvre race de Cham. »
Polémique contemporaine
À partir de la fin du XXe siècle, la malédiction de Cham devient un sujet d'étude principalement pan-africain englobé dans un retour plus général et critique sur le rôle de l'Occident et du Proche-Orient dans la traite des noirs et l'esclavage. Cheikh Anta Diop, historien et anthropologue très contesté, semble être le premier à s'intéresser à ce sujet dans une perspective afrocentriste. De nos jours, le sujet est très couramment abordé par divers intellectuels du continent africain et des Antilles selon l'argumentation suivante :
L'Occident et le monde arabe ont perpétré la traite des noirs et l'esclavage pendant des siècles, et cela aurait ruiné le continent africain.
À partir de la fin du XXe siècle, la malédiction de Cham devient un sujet d'étude principalement pan-africain englobé dans un retour plus général et critique sur le rôle de l'Occident et du Proche-Orient dans la traite des noirs et l'esclavage. Cheikh Anta Diop, historien et anthropologue très contesté, semble être le premier à s'intéresser à ce sujet dans une perspective afrocentriste. De nos jours, le sujet est très couramment abordé par divers intellectuels du continent africain et des Antilles selon l'argumentation suivante :
L'Occident et le monde arabe ont perpétré la traite des noirs et l'esclavage pendant des siècles, et cela aurait ruiné le continent africain.
L'exégèse islamique de la malédiction de Cham a servi de pilier à cette démarche, qui justifiait l'infériorité du peuple africain par une malédiction divine héréditaire.
Certains, plus radicaux, évoquent également plus ou moins ouvertement le RACISME à l'encontre des noirs des BIBLISTES JUIFS.
(Source Wikipedia)
Certains, plus radicaux, évoquent également plus ou moins ouvertement le RACISME à l'encontre des noirs des BIBLISTES JUIFS.
(Source Wikipedia)
EN JÉSUS-CHRIST de Nazareth, la supposé et fausse malédiction des noirs descendants de KOUCH et non de CANAAN (désigné par la malédiction de NOÉ ) est CADUQUE.
Si tu es en YÉSHOUA HA MASHIAH (JÉSUS-CHRIST), aucune malédiction n'aura d'effet sur toi, réelle ou supposée, AUCUNE!
"Maintenant, ceux qui sont unis au Christ Jésus ne peuvent plus être condamnés."
Romains 8:1 PDV
Les hommes qui prêchent "la malédiction de Cham" à propos des nègres mis en esclavage ne sont pas inspirés par le Souffle de YHWH-ADONAÏ et ni par la sainte doctrine du Seigneur YÉSHOUA. Ce sont de faux-inspirés, de faux-docteurs animés par leurs sentiments racistes envers les populations négroïdes.
Ils manipulent, falsifient les Écrits, comme l'a fait satan dans le désert, en essayant de tenter notre maître JÉSUS après le jeûne de quarante jours.
Cet enseignement séculaire et colonialiste est relayé et admis bêtement, par les enseignants religieux noirs eux-même, descendants de noirs mis en esclavage.
Éveillons les consciences et dénonçons cet enseignement non agréé par l'Esprit.
"Il n’y a ici ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni ESCLAVE ni LIBRE; mais Christ est tout et en tous."
Colossiens 3:11 LSG
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