vendredi 18 octobre 2013

Gender Studies, Études de genre, DANGER !!!

Où mène le «Gender» ?
 
Le concept du «Gender» considère que les sociétés hétéro-centrées (d’influence judéo-chrétienne) produisent une discrimination à l’égard des groupes qui souhaitent vivre selon d’autres pratiques sexuelles. Il s’agit donc d’offrir, par exemple, aux homosexuels les mêmes droits que les hétéro-sexuels (le mariage pour tous, le droit à l’adoption, le droit à la procréation médicalement assistée et à l’emploi de mères-porteuses), mais également de faire la promotion de ce nouveau modèle socio-culturel, dès le plus jeunes âge : il s’agit d’opérer une modification des programmes éducatifs afin de lutter contre les stéréotypes de genres, de développer l’éducation sexuelle dès la maternelle — en enseignant la normalité de toutes les pratiques sexuelles — et de banaliser les changements de sexes. Il n’est pas impossible que les associations LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transsexuels), très militantes, revendiquent d’être intégrées au dispositif informatif des enfants.
Lors d’un sondage récent, 65% des personnes interrogées se déclaraient opposées à ce que des associations LGBT puissent être associées à l’éducation de la sexualité dans les écoles. Néanmoins, il est probable que ces choses arriveront, étant donné la pression exercée par ces lobbies. On peut donc prédire que sous l’influence de ces enseignements directs, de la profusion des témoignages légitimés, les enfants admettront dès leur plus jeune âge que l’homosexualité (par ex.) est normale, ce qui s’inscrit en contradiction avec les articles fondamentaux du christianisme, et de l’ensemble des religions monothéistes. Il est à craindre que d’autres étapes «progressistes» nous attendent encore, comme l’abaissement de l’âge légal de majorité sexuelle, ou la dépénalisation progressive de l’inceste.
 
 
Les études de genre ou gender studies sont un champ d'étude et de recherche interdisciplinaire consacré au genre dans ce qu'il a de social, politique, anthropologique, historique, philosophique ou artistique.
Le genre est également un domaine d'étude dans de nombreuses disciplines, notamment l'art et l'histoire de l'art, mais également l'histoire, l'anthropologie, la sociologie, la psychologie ou la psychanalyse. Ces disciplines diffèrent parfois dans leurs approches et dans leurs raisons d'étudier le genre. Mais les études de genre peuvent également être considérées comme une discipline à part entière, au croisement de différentes autres approches disciplinaires.
De manière générale, les études de genre proposent une démarche de réflexion sur les identités sexuées et sexuelles, répertorient ce qui définit le masculin et le féminin dans différents lieux et à différentes époques, et s’interrogent sur la manière dont les normes se reproduisent jusqu’au point de paraître naturelles.

 

Terminologie

Les études de genre apparaissent dans les années 1970 et 1980 dans les universités nord-américaines sous le nom de « gender studies ». Le mot anglais gender vient du latin genus par l'ancien français gendre. Il a ici le sens utilisé en sciences sociales, initialement des différences non biologiques entre femmes et hommes, puis à partir des années 1990, des rapports de pouvoir construits à partir de rôles socialement attribués.
Le terme anglais de gender studies est encore utilisé en français, cependant des universités et institutions francophones utilisent couramment la traduction « études de genre ».

Histoire

Études sur les femmes

Les études sur les femmes ciblent leurs analyses sur la condition féminine et mettent en valeur le rôle des femmes dans la société. Elles sont critiquées pour se focaliser sur l'étude unique du sexe féminin. Dans un contexte social analysé comme patriarcal, leur but est de combler les lacunes académiques concernant l'étude du rôle des femmes dans différents domaines et espaces.
Ces travaux servent souvent d'appui aux mouvements féministes pour dénoncer les inégalités femme-homme et formuler leurs revendications.

Études féministes

Les études féministes voient leur essor dans les années 1970 lors de la deuxième vague des mouvements féministes. Leur but est clairement militant : expliquer les modalités des discriminations, leurs causes, leurs effets sur les femmes et la société en général de façon à pouvoir les surmonter.
Plusieurs critiques sont émises à leur encontre. La première est la politisation des perspectives scientifiques issues de ces recherches, qui provoquent une méfiance et un ralentissement de leur institutionnalisation. La seconde est l'utilisation du « point de vue des femmes » pour réorienter l'analyse des recherches centrées jusqu'alors sur l'universalisme et la vision masculine. La troisième est la crainte que les travaux académiques transforment un savoir universel en un savoir particulier. D'après les féministes, cette universalité serait toute relative, car ces vérités uniques seraient en fait situées dans le temps, l'espace et par les personnes qui les produisent.
Selon Jackson et Jones, « le féminisme refuse de voir les inégalités entre les femmes et les hommes comme naturelles et inévitables et entend les questionner ». Ainsi, les féministes souhaitent questionner le savoir historiquement dominé par le système patriarcal.
Les études sur les femmes et féministes sont liées à la réorientation des travaux du « point de vue des femmes », à la dénonciation des inégalités femme-homme, au questionnement de l'universalité et du biais patriarcal au sein des sociétés, et à l'analyse de la répartition des espaces en fonction des sexes (les espaces ouverts plutôt dédiés aux hommes, et les espaces clos plutôt dédiés aux femmes).

Études de genre

Les études de genre naissent dans les années 1980 et le début des années 1990 de l'évolution des études féministes. Cette approche souhaite questionner le rapport entre les sexes au sein de la société sans se focaliser spécifiquement sur les femmes. Ces études effectuent une distinction entre le sexe et le genre pour s'interroger sur la construction des rôles sociaux attribués « naturellement ». Elles permettent de questionner le rôle du sexe – lié à des paramètres biologiques et naturels – et celui du genre – lié à une construction sociale.
Comme le mentionne Gayle Rubin, le rapport entre le sexe et le genre est une représentation « porte-manteau » du sexe sur le corps dépendant des représentations culturelles de la société. Les études de genres sont de nature constructiviste, et permettent de déconstruire les catégories de représentations du féminin et du masculin en les situant dans le temps et l'espace par rapport aux relations de pouvoir.

 

L'écriture comme « machine de guerre »

L'une des figures historiques des gender studies est française : il s'agit de Monique Wittig, dont le parcours intellectuel apparaît tout à fait illustratif des thèses de French Theory. Son premier roman L'Opoponax (prix Médicis en 1964) est salué par la critique internationale et les écrivains du Nouveau Roman. Elle est également considérée, dès cette époque, comme une figure marquante du féminisme français. Très rapidement, ses livres apparaissent comme une volonté de travailler la langue en traduisant dans celle-ci les problèmes de la sexuation. Elle s'oppose en cela radicalement à un autre courant du féminisme, qui voulait plutôt valoriser une « écriture féminine ». Pour Monique Wittig, la seule vraie question est celle de la littérature : « En littérature, je ne sépare pas les femmes des hommes. On est écrivain ou pas.»
Elle apparaît également comme une grande figure du mouvement lesbien en France. Estimant que le mouvement féministe français ne prenait pas suffisamment en compte les thèses lesbiennes, elle part pour les États-Unis en 1976. Elle enseigne alors à l'université de Berkeley, en Californie, puis dans d'autres universités américaines. Elle a fortement influencé et inspiré une tendance des gender studies que l'on appelle le mouvement Queer ou Queer Theory.
Pour Monique Wittig, l'œuvre littéraire peut transformer le monde en devenant une « machine de guerre » qui va modifier notre vision du monde et les représentations qui sous-tendent notre compréhension du monde. Pour elle, « toute œuvre littéraire importante est, au moment de sa production, comme le cheval de Troie » car « son intention et son but sont de démolir les vieilles formes et les règles conventionnelles. Une telle œuvre se produit toujours en territoire hostile. Et plus ce cheval de Troie apparaît étrange, non-conformiste, inassimilable, plus il lui faut de temps pour être accepté. » (communication orale reproduite dans Vlasta n° 4).

Instiller le trouble dans le « genre »

Judith Butler est une philosophe américaine qui enseigne la rhétorique et la littérature comparée à Berkeley. Dans son ouvrage majeur, qui la fit connaître au monde entier (Gender Trouble), elle présentait ainsi les intentions de son livre : « Pour démontrer que les catégories fondamentales de sexe, de genre et de désir sont les effets d'une certaine formation du pouvoir, il faut recourir à une forme d'analyse critique que Foucault, à la suite de Nietzsche, a nommée généalogie. » Il s'agit, pour cela, « de chercher à comprendre les enjeux politiques qu'il y a à désigner ces catégories de l'identité comme si elles étaient leurs propres origine et cause alors qu'elles sont en fait les effets d'institutions, de pratiques, de discours provenant de lieux multiples et diffus. » Le but à atteindre étant défini par une volonté de déstabiliser « le phallogocentrisme et l'hétérosexualité obligatoire. » (introduction à l'édition française). Il s'agit aussi de repenser l'organisation sociale selon des modèles homosexuels ou transsexuels.
Dans l'un de ses derniers ouvrages (traduit en langue française par Le pouvoir des mots), elle veut montrer comment la violence verbale qui s'exerce contre les minorités (sexuelles ou raciales) constitue un discours profondément ambivalent. Ces discours peuvent être analysés, et, du même coup, retournés. Elle pense donc qu'il ne faut pas confier à l'État seul le soin de décider ce qui est dicible ou pas. Dans cet ouvrage, elle reprend notamment la catégorie du discours performatif qu'un auteur comme John Langshaw Austin avait conceptualisée.

Ce que l'érotique grecque peut nous apprendre

David Halperin est professeur au département de langue et de littérature anglaise de l'université du Michigan, à Ann Arbor. Dans Cent ans d'homosexualité, il explore les différentes catégories de l'amour grec en s'inscrivant dans le fil des questions analysées par Michel Foucault dans son Histoire de la sexualité. Il veut montrer, entre autres, combien « l'hétérosexualité exclusive et "compulsive" (…) apparaît désormais comme une production spécifique de l'Occident moderne et même bourgeois », ce qui a contribué à réifier notre modèle actuel de « l'homosexuel ». Reconstruire la généalogie de ces catégories nous permet d'« introduire du neuf dans notre conscience culturelle, politique et personnelle ; c'est découvrir une nouvelle façon de nous voir et c'est créer, peut-être, de nouvelles façons d'être dans notre peau. » (Deux points de vue sur l'Amour grec).
L'un de ses ouvrages, Saint Foucault, « analyse la manière dont Foucault a anticipé le tournant queer de la politique gay », et peut être considéré comme une bonne introduction à la compréhension des liens tissés entre ce mouvement et les thèses du philosophe français.

Le mouvement transgenre

Pat Califia est transgenre, de type female to male (femme vers homme : quelqu'un qui est né de sexe féminin et qui vit au masculin). Les transgenres refusent l'appellation « transsexuel » qu'ils considèrent comme une catégorie médicale qui réduit leurs aspirations intimes à un « problème » médical ou psychique.
Certains transgenres se vivent comme « FTM » ou « MTF » (homme vers femme), d'autres refusent les catégories du genre en général. Certains se sont fait opérer ou prévoient de le faire, d'autres non. Leur vie sociale est souvent complexe. Pat Califia décrit bien à quel point l'intégration des règles sociales concernant le genre continue à œuvrer chez chacun, y compris chez ceux qui luttent contre les catégories du genre. Les interrogations portées par les transgenres apparaissent souvent les plus dérangeantes, y compris pour les gays ou les lesbiennes, car elles peuvent remettre en question la perception qu'ont les individus de leur intégrité physique.
Le seul ouvrage actuellement traduit de Pat Califia est un mélange de textes autobiographiques, de textes théoriques et de récits cliniques. Pour lui : « Si vous pouviez changer de sexe aussi facilement dans la réalité que dans le monde virtuel, et reprendre votre sexe ensuite, n'aimeriez-vous pas essayer au moins une fois ? (…) Qu'est-ce qui changerait dans vos idées politiques, vos vêtements, vos préférences alimentaires, vos désirs sexuels, vos mœurs sociales, votre style de conduite, de travail, de langage corporel, de comportement dans la rue ? ».

Le mouvement queer

Le queer est ce qui s'oppose au straight. Dans le contexte du gender, le queer c'est le travers, le tordu, le « pédé » qui s'oppose au normé, à l'hétérosexualité. En s'appropriant les insultes qui leur sont adressées, certains transgenres, lesbiennes et gays veulent obliger le discours social à remettre en cause « l'essentialisme » de notre vision sur le sexuel et les catégories sexuelles.
Ce mouvement adresse des critiques sévères à la psychanalyse, et particulièrement à certains psychanalystes qui se sont posés publiquement comme les gardiens de « l'ordre symbolique ». À la suite de Judith Butler, et contrairement à la vision straight des normes sexuelles, le mouvement queer propose une conception « performative » (qui s'inspire de la catégorie du performatif dégagée par Austin) des divisions sexuelles en explorant ce qui se déploie dans la figure du drag queen, du théâtre porno lesbien, dans tout ce qui provoque et dérange le discours normé hétérosexuel. La pornographie devient ainsi le pilier central de toute sexualité non occidentale.
En France, deux des figures les plus connues de cette tendance sont Marie-Hélène Bourcier, sociologue et maître de conférence à l'Université de Lille III qui anime les séminaires du « zoo », et Beatriz Preciado, qui enseigne à l'université de Princeton, dans le New Jersey.

Les apports du concept de genre dans le monde académique

Le concept de genre présente deux avantages principaux. D'un point de vue épistémologique, les rapports sociaux entre les hommes et les femmes sont considérés comme centraux dans la construction des pratiques et des représentations. Cette prise de position va permettre une distanciation de l'universalité considérée comme masculine, ainsi que l'étude des faits sociaux considérés comme naturels (le sexe) ou culturel (le genre). D'un point de vue stratégique, ce concept permet de dépolitiser les recherches académiques. Par conséquent, il permet d'amoindrir le militantisme féministe et favorise l'acceptation de ces études par le monde universitaire.

Auteurs associés aux études de genre

La sociologue britannique Ann Oakley : est la première chercheuse à utiliser le concept de genre en incluant une dimension sociale et culturelle dans le terme sexe. Au Canada, ce concept est dénommé sous le terme de « sexo-spécificité », alors qu'en France il est dénommé sous le terme de « catégorie sociale de sexe ».
L'anthropologue Gayle Rubin : est une des premières chercheuses à nommer le sex/gender system, qu'elle définit comme la représentation sociale du sexe biologique. Sa vision du rapport entre le sexe et le genre serait à l'image d'un « porte-manteau » corporel.
Linda Nicholson[ : comprend le rapport entre le sexe et le genre comme dépendant. Sa conception considère la variable biologique comme intégrée à la variable culturelle. D'après les travaux de Laqueur sur lesquels elle s'appuie, les différences sexuelles sont porteuses de significations « genrées » et situées dans une société particulière à une période donnée.

Réception critique

Réception dans les sciences sociales

Des travaux dans les champs de la neurobiologie, de la génétique ou en psychologie cognitive arrivent à des conclusions partagées quant à l'idée que le genre serait indépendant du sexe biologique. Les travaux récents d'une psychologue et d'une philosophe insistent sur les « différences dues à l'action des gènes, des hormones, voire à une organisation neuronale sexuée ».
L'anthropologue australien Frank Salter (en), après avoir brossé un tableau de l'historique des idées sur le genre, précise que la biologie de la différenciation sexuelle contredit l'idée que l'identité de genre serait indépendante du sexe. Bien que cela ne remette pas en cause toutes les théories de genre, cela les limite. « La biologie détermine si une personne a des organes reproducteurs mâles ou femelles, ce qui correspond habituellement à sa sexualité, la structure de son cerveau et à ses préférences. Aucun changement de coutumes, de lois, de croyances, d'endoctrinement ou de pratiques n'a ces effets ». Selon lui, les études de genre font preuve d'une prévention contre la biologie (anti-biological bias), qui pourrait être corrigée par l'établissement d'équipes pluri-disciplinaires intégrant des biologistes comportementaux .

Réception dans les sciences exactes

Lise Eliot, neurobiologiste, précise que le processus de différenciation sexuelle s'enclenche dès le milieu du premier trimestre de grossesse, que « garçons et filles sont influencés dans l'utérus par différents gènes et différentes hormones qui leur sont propres », notamment par la testostérone. Son influence a pour conséquence durant la période de quatre mois, avant la naissance, durant laquelle les fœtus sont exposés à la testostérone, de les « masculiniser entre les jambes et, dans une certaine mesure, dans leurs cerveaux embryonnaires », et en particulier cela lui permet d'avancer que « longtemps avant qu'ils n'entrent en contact avec notre culture très codifiée entre masculin et féminin, leurs cerveaux sont préparés à ne pas réagir tout à fait de la même manière à certains aspects de notre environnement ». Mais face au peu de preuves montrant une différence entre cerveaux d'enfants de sexes différents, Lise Eliott explique les observations des différences comportementales entre garçons et filles par l'éducation parentale à la reconnaissance de soi comme appartenant à l'un ou l'autre des sexes. Par exemple, elle rappelle que l'étude des préférences des jouets chez les bébés indique que les filles comme les garçons entre l'âge de 6 et 12 mois préfèrent les poupées aux petites voitures. D'après elle, c'est à partir de l'âge de un an, avec le développement du sentiment d'appartenance sexuée chez l'enfant, que les garçons et les filles commencent à se conformer aux comportements sexués qui sont attendus d'eux.
De manière similaire, la neurobiologiste Catherine Vidal réfute l'idée d'un « déterminisme biologique »et estime que du fait de la plasticité cérébrale, la différence entre les cerveaux des deux sexes est négligeable comparée aux différences individuelles. Se basant sur des techniques d’imagerie cérébrale comme l'IRM, elle explique qu'à la naissance, seules 10 % des terminaisons nerveuses entre neurones sont faites et les 90 % se construisent « progressivement au gré des influences de la famille, de l'éducation, de la culture, de la société ». Ainsi, « À la naissance, le bébé humain ne connaît pas son sexe » et si les femmes et des hommes adoptent des comportements de genre stéréotypés, « la raison tient d'abord à une empreinte culturelle rendue possible grâce aux propriétés de plasticité du cerveau humain ».

Réception par les philosophes et intellectuels

La juriste et philosophe Élizabeth Montfort, si elle reconnaît que l'individu grandit selon un conditionnement social et sexuel certain et que le concept de genre a permis aux féministes américaines d'étudier la place des femmes dans la société, critique ce qu'elle appelle « le dérapage vers l'idéologie » des études de genre, « lorsqu'une fraction de ces féministes a arbitrairement décidé que l'humain ne devait pas s'identifier qu'à partir de son genre ou sexe social, sans prendre en compte le corps sexué, par l'indifférenciation des sexes », dans le but de tendre vers une égalité qu'elle qualifie de « rupture anthropologique majeure, où le social prime sur le biologique, le corps sexué n’entrant désormais plus dans la définition de l'homme ou de la femme ». Elle critique aussi ce qu'elle considère être une récupération de ces études par des militants LGBT, amenant à ce que genre et sexe ne soient plus dissociés, mais opposés : « L'humain retrouve donc réduit, et de manière obsessive, à sa simple orientation sexuelle » et non plus au système binaire homme/femme.
 
Source: Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
http://www.lesarment.com/

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