Jeûner: S'abstenir d'aliments ou de certains aliments par esprit de dévotion.
Judaïsme
La religion juive recommande les jeûnes (Taanit) suivants : Yom Kippour, Tisha Beav (les seuls jeûnes mentionnés dans la Torah), le 17 Tammouz, le jeûne de Guedalia, le 10 Tevet, le jeûne des premiers-nés, le jeûne d'Esther, la plupart étant des jeûnes de deuil.
Certains juifs prenaient un air accablé pour montrer leur dévotion et ainsi leur jeûne prenait l'aspect d'une pénitence. Les gens autour d'eux les encourageaient en voyant en eux de grands hommes pieux. Ils recevaient la gloire des autres qui les plaignaient. À force de jeûne, Ils pensaient aussi gagner la faveur de Dieu en se mortifiant, sans une réelle repentance.
Le Seigneur répète trois fois au sujet des simples formalistes : « leur récompense , ils l'ont d'ores et déjà reçu », c’est-à-dire l’approbation et la louange de leurs semblables, Ils l’ont ; elle est tout entière dans le présent, et il n’y a rien à attendre de plus.
Au contraire, celui qui DONNE, ou PRIE, ou JEÛNE, remarqué par Dieu et non par les hommes sera récompensé ouvertement dans le jour à venir.
Méditons le passage suivant Ésaïe 58 et voyons comment plaire à Élohim en jeûnant.
Jeûner va bien plus loin que le seul fait de s'abstenir d'aliments.
Il y a toute une profondeur spirituelle et une étendue d'amour pour le prochain, avec la crainte de Dieu.
Ce VRAI JEÛNE permet au Seigneur d'entendre nos prières, car Il lit dans nos cœurs et assiste à nos actions d'amour envers notre prochain.
Judaïsme
La religion juive recommande les jeûnes (Taanit) suivants : Yom Kippour, Tisha Beav (les seuls jeûnes mentionnés dans la Torah), le 17 Tammouz, le jeûne de Guedalia, le 10 Tevet, le jeûne des premiers-nés, le jeûne d'Esther, la plupart étant des jeûnes de deuil.
Certains juifs prenaient un air accablé pour montrer leur dévotion et ainsi leur jeûne prenait l'aspect d'une pénitence. Les gens autour d'eux les encourageaient en voyant en eux de grands hommes pieux. Ils recevaient la gloire des autres qui les plaignaient. À force de jeûne, Ils pensaient aussi gagner la faveur de Dieu en se mortifiant, sans une réelle repentance.
Le Seigneur répète trois fois au sujet des simples formalistes : « leur récompense , ils l'ont d'ores et déjà reçu », c’est-à-dire l’approbation et la louange de leurs semblables, Ils l’ont ; elle est tout entière dans le présent, et il n’y a rien à attendre de plus.
Au contraire, celui qui DONNE, ou PRIE, ou JEÛNE, remarqué par Dieu et non par les hommes sera récompensé ouvertement dans le jour à venir.
Méditons le passage suivant Ésaïe 58 et voyons comment plaire à Élohim en jeûnant.
Jeûner va bien plus loin que le seul fait de s'abstenir d'aliments.
Il y a toute une profondeur spirituelle et une étendue d'amour pour le prochain, avec la crainte de Dieu.
Ce VRAI JEÛNE permet au Seigneur d'entendre nos prières, car Il lit dans nos cœurs et assiste à nos actions d'amour envers notre prochain.
"Le jeûne qui me plaît, est-ce qu’il ressemble à cela ?
Est-ce une façon correcte de vous faire petits devant moi ?
Pencher la tête comme un roseau, mettre un habit de deuil, se coucher dans la poussière, est-ce que vous appelez cela un jeûne, un jour qui me plaît ?
Voici le JEÛNE QUI ME PLAÎT :
Libérer les gens enchaînés injustement, enlever le joug qui pèse sur eux, rendre la liberté à ceux qu’on écrase, bref, supprimer tout ce qui les rend esclaves.
C’est partager ton pain avec celui qui a faim, loger les pauvres qui n’ont pas de maison, habiller ceux qui n’ont pas de vêtements.
C’est ne pas te détourner de celui qui est ton frère. »
Alors ta lumière jaillira comme l’aurore, et ta plaie se fermera vite. Tes bonnes actions marcheront devant toi, et la gloire du Seigneur fermera la marche derrière toi.
Quand tu appelleras, le Seigneur répondra. Quand tu crieras, il dira : « Je suis là !»
Si tu fais disparaître de ton pays ce qui écrase les autres, les gestes de menace et les paroles blessantes, alors ta lumière se lèvera dans la nuit, ton obscurité sera comme la lumière de midi.
Ce sera la même chose si tu partages ta nourriture avec celui qui a faim, si tu donnes à manger à ceux qui sont dans la misère.
Le Seigneur sera toujours ton guide. Même en plein désert, il te donnera à manger et te rendra des forces.
Tu seras comme un jardin bien arrosé, comme une source qui coule toujours.
Tu relèveras les vieux murs détruits, tu reconstruiras sur les fondations abandonnées depuis toujours.
On t’appellera « le peuple qui ferme les fentes et refait les rues de la ville »."
Ésaïe 58:5-12 PDV
Jeûner, c'est faire abstinence d'aliments pour humilier notre corps, car le fait de ne pas se nourrir est une violence pour le corps qui a besoin de se nourrir.
Jeûner, c'est aller à l'encontre de notre nature humaine qui doit s'alimenter.
De même, la nature humaine s'alimente du mal, la raison pour laquelle Yeshoua nous demande d'aimer.
Aimer son prochain va donc à l'encontre de notre nature humaine, adamique.
Le fait de s'abstenir de faire le mal en faisant le bien est une forme de jeûne, car on prive notre âme et esprit du mal afin de s'élever vers Dieu.
S'abstenir d'aliment nous permet de nous élever vers Dieu.
S'abstenir de faire le mal et aimer son prochain, selon Dieu, nous permet de nous élever vers Dieu.
Aimer est une forme de jeûne jusqu'au retour de l'épouse qui reviendra chercher l'Épouse.
Ce jeûne spirituel nous rapproche du vrai jeune de Dieu en Ésaïe 58: 5-12.
"Mais le moment va venir où on leur enlèvera le marié. Alors, ce jour-là, ils jeûneront."
Marc 2:20 PDV
Jeûnons dans notre chair, pas simplement comme un acte formel, rituel et routinier, mais de toute notre âme et esprit quotidiennement comme une Épouse qui attend l'Épouse en mettant de l'huile dans nos lampes pour briller, en persévérant.
Aimer notre prochain selon Dieu est une forme de jeûne.
Se retirer du monde, en fuyant ses passions, pour vivre en Christ dans l'amour est une forme de jeûne dans l'attente de l'Époux .
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