DANS LE CAMP OU HORS DU CAMP ?
Il fit approcher le taureau EXPIATOIRE, et Aaron et ses fils posèrent leurs mains sur la tête du taureau expiatoire. Moïse l’égorgea, prit du sang, et en mit avec son doigt sur les cornes de l’autel tout autour, et purifia l’autel; il répandit le sang au pied de l’autel, et le sanctifia pour y faire l’expiation. Il prit toute la graisse qui couvre les entrailles, le grand lobe du foie, et les deux rognons avec leur graisse, et il brûla cela sur l’autel. Mais il brûla au feu HORS DU CAMP le taureau, sa peau, sa chair et ses excréments, comme l’Éternel l’avait ordonné à Moïse.
Lévitique 8:14-17
Demeurons HORS DU CAMP avec Yeshoua,car DANS LE CAMP demeurent les religions judaïsantes, mondaines et terrestres. Ceux qui ne reconnaissent pas entièrement la place maîtresse de Yeshoua ou qui altèrent son œuvre rédemptrice par les œuvres de la Loi ou qui se laissent dominer par un clergé.
La loi et ses œuvres, le judaïsme, demeurent DANS LE CAMP et YESHOUA son sacrifice expiatoire, sa résurrection, sa grâce, son amour et sa Gloire demeurent HORS DU CAMP.
Sur le fondement du seul sacrifice de Christ sur la croix, sacrifice expiatoire parfait et définitif, Dieu a formé l’Église, le jour de la Pentecôte, par la descente et le baptême du Saint-Esprit, et il a instauré le christianisme dans son caractère céleste comme quelque chose qui lui appartenait et en quoi il prenait plaisir. Avec ses véritables caractères tels qu’ils sont donnés dans les Écritures, le christianisme céleste offre des traits exactement opposés à ceux que nous avons notés DANS LE CAMP du JUDAÏSME.
Voici les caractéristiques du CHRISTIANISME véritable de Yeshoua et de ceux qui demeurent HORS DU CAMP:
1. Le sanctuaire chrétien est dans le ciel et non pas sur la terre. Christ est entré dans le ciel même et il paraît dans la présence de Dieu pour nous, comme ministre des lieux saints et du vrai tabernacle (Hébreux. 8:2 ; 9:24).
2. Le voile à l’entrée du lieu très saint est déchiré et nous avons une pleine liberté pour entrer dans le lieu très saint par le sang d’Yeshoua , par le chemin nouveau et vivant, à travers le voile déchiré (Hébreux. 10:19, 20). Dieu est venu vers l’homme dans la personne de Christ, et Christ est entré auprès de Dieu pour le croyant et a ouvert le chemin pour que nous puissions entrer dans le lieu très saint. Tout chrétien a sa place au-dedans du voile, dans le sanctuaire céleste.
3. Il y a ainsi un plein accès à Dieu. « Par lui nous avons, les uns et les autres (Juifs et Gentils) accès auprès du Père par un seul Esprit » (Éphésiens. 2:18).
4. Tout croyant en Christ est saint, sacrificateur royal et il a le privilège d’offrir des sacrifices spirituels à Dieu. Il n’y a pas, dans le christianisme du Nouveau Testament, de classe spéciale de sacrificateurs distincte du peuple (1 Pierre 2:5, 9).
5. Par le seul sacrifice parfait et définitif de Christ, les croyants ont la conscience purifiée, ils sont sanctifiés et rendus parfaits à perpétuité devant Dieu, et ils sont assurés que Dieu ne se souviendra plus jamais de leurs péchés ni de leurs iniquités (Hébreux. 9:14 ;10:10, 14-17).
6. L’Église de Christ est composée d’un peuple qui a un lien vital avec Dieu par la nouvelle naissance, à l’exclusion de ceux qui n’ont qu’un lien extérieur avec Dieu par la naissance naturelle, comme c’était le cas en Israël. Seuls ceux qui sont « nés de nouveau » font partie de l’Église et peuvent adorer Dieu « en esprit et en vérité » (Jean 3:3 ; 4:24). Il n’y a pas de mélange — sauvés et non sauvés — dans le culte de la vraie Église.
7. Le christianisme est absolument, formellement céleste. « Notre bourgeoisie est dans les cieux » (Philippiens. 3:20). Il ne convient donc pas à l’homme dans la chair, il est au contraire un scandale pour un homme naturel. Ainsi l’opprobre de la croix et le rejet de Christ sont liés au vrai culte chrétien. « Tous ceux qui veulent avoir une belle apparence dans la chair, ceux-là vous contraignent à être circoncis (le judaïsme) ; seulement afin qu’ils ne soient pas persécutés à cause de la croix de Christ » (Galates. 6:12).
La victime est brûlée HORS DU CAMP, et c’est la part du chrétien. Il est mort au péché ; il a été crucifié au monde par le corps de Christ.
Ceux qui sont DANS LE CAMP ne peuvent comprendre la fin de l’homme dans la chair. Aucun de ceux qui y restent n’a jamais reconnu l’impossibilité totale d’améliorer l’homme ni accepté que son jugement est définitif. Tous les éléments qui composent la chrétienté de nos jours, comme en tout temps, prouvent cette incapacité du monde à comprendre que l’homme est perdu et inaméliorable. Les innombrables associations pour la tempérance, pour les œuvres de relèvement, etc., en sont la preuve.
Ceux qui composent le CAMP ne peuvent se croire perdus, ou ne donnent jamais à ce mot son vrai sens.
« Une RELIGION MONDAINE, formant un système dans lequel le monde peut marcher et dans lequel l’élément religieux est adapté à l’homme sur la terre, est la NÉGATION DU CHRISTIANISME ».
Quel contraste entre une religion terrestre comme celle d’Israël judaïque, et la religion céleste que possèdent les chrétiens.
Les Consacrés en Yeshoua sont à la fois HORS DU CAMP où ils ont trouvé Christ ici-bas, et AU-DEDANS DU VOILE, où ils trouvent Christ dans les lieux célestes.
Israël judaïque est DANS LE CAMP sans Christ et HORS DU VOILE sans Christ.
Le sang est dans les lieux saints et sans Christ on ne peut s’en approcher ; le ciel est fermé pour ceux qui demeurent DANS LE CAMP et ils n’ ont aucun accès possible devant Élohim. .
Le CAMP, et qu’est-ce que le CAMP ? :
Une relation RELIGIEUSE TERRESTRE avec Dieu, hors du sanctuaire, établie dans ce monde, avec des prêtres ordonnés entre l’homme et Dieu.
Le CAMP n’est pas le monde, mais une RELIGION DE CE MONDE.
Ce système, d’abord établi de Dieu, pour prouver expérimentalement à l’homme que Dieu ne peut habiter au milieu d’un peuple souillé par le péché, ce système avait été rompu dès le premier essai qui en avait été fait en Sinaï.
À peine le peuple avait-il accepté la loi, qu’il avait fait le veau d’or, se prosternant devant une idole.
Alors Moïse avait dressé la tente d’assignation HORS DU CAMP, où Dieu ne pouvait rester.
Dieu consentit ensuite et pour un temps à renouveler l’expérience, à RENTRER AU CAMP avec le TABERNACLE, et en Canaan avec le TEMPLE, tout en s’y cachant dans une profonde obscurité et en INTERDISANT au peuple l’entrée du sanctuaire.
Ensuite, quand la vérité fit place aux ombres de la loi, il descendit au milieu de son peuple dans la personne D’EMMANUEL.
Mais alors, Israël ne voulut pas avoir Dieu avec lui DANS LE CAMP. — Il le jeta dehors, le crucifia, ne lui octroya pas même DANS LE CAMP une place où poser ses pieds.
Ainsi, avant que Dieu entre DANS LE CAMP, Israël y établit une idole ; quand Dieu vient y demeurer, Israël le rejette et crucifie son Sauveur. « JÉSUS A SOUFFERT HORS DE LA PORTE ».
Mais là, il a accompli l’expiation. Au lieu de consumer ce peuple rebelle, il a été consumé lui-même, afin de le sanctifier par son propre sang.
Tel était LE BUT DE LA GRÂCE.
Mais ce malheureux peuple a préféré rester DANS SON CAMP quand Dieu N'Y ÉTAIT PLUS.
Les fidèles, comme autrefois à la tente d’assignation, devaient sortir HORS DU CAMP pour RENCONTRER DIEU.
Il en était ainsi pour ces Hébreux, il en est de même aujourd’hui pour le chrétien
SORTONS HORS DU CAMP !!!
Il fit approcher le taureau EXPIATOIRE, et Aaron et ses fils posèrent leurs mains sur la tête du taureau expiatoire. Moïse l’égorgea, prit du sang, et en mit avec son doigt sur les cornes de l’autel tout autour, et purifia l’autel; il répandit le sang au pied de l’autel, et le sanctifia pour y faire l’expiation. Il prit toute la graisse qui couvre les entrailles, le grand lobe du foie, et les deux rognons avec leur graisse, et il brûla cela sur l’autel. Mais il brûla au feu HORS DU CAMP le taureau, sa peau, sa chair et ses excréments, comme l’Éternel l’avait ordonné à Moïse.
Lévitique 8:14-17
Demeurons HORS DU CAMP avec Yeshoua,car DANS LE CAMP demeurent les religions judaïsantes, mondaines et terrestres. Ceux qui ne reconnaissent pas entièrement la place maîtresse de Yeshoua ou qui altèrent son œuvre rédemptrice par les œuvres de la Loi ou qui se laissent dominer par un clergé.
La loi et ses œuvres, le judaïsme, demeurent DANS LE CAMP et YESHOUA son sacrifice expiatoire, sa résurrection, sa grâce, son amour et sa Gloire demeurent HORS DU CAMP.
Sur le fondement du seul sacrifice de Christ sur la croix, sacrifice expiatoire parfait et définitif, Dieu a formé l’Église, le jour de la Pentecôte, par la descente et le baptême du Saint-Esprit, et il a instauré le christianisme dans son caractère céleste comme quelque chose qui lui appartenait et en quoi il prenait plaisir. Avec ses véritables caractères tels qu’ils sont donnés dans les Écritures, le christianisme céleste offre des traits exactement opposés à ceux que nous avons notés DANS LE CAMP du JUDAÏSME.
Voici les caractéristiques du CHRISTIANISME véritable de Yeshoua et de ceux qui demeurent HORS DU CAMP:
1. Le sanctuaire chrétien est dans le ciel et non pas sur la terre. Christ est entré dans le ciel même et il paraît dans la présence de Dieu pour nous, comme ministre des lieux saints et du vrai tabernacle (Hébreux. 8:2 ; 9:24).
2. Le voile à l’entrée du lieu très saint est déchiré et nous avons une pleine liberté pour entrer dans le lieu très saint par le sang d’Yeshoua , par le chemin nouveau et vivant, à travers le voile déchiré (Hébreux. 10:19, 20). Dieu est venu vers l’homme dans la personne de Christ, et Christ est entré auprès de Dieu pour le croyant et a ouvert le chemin pour que nous puissions entrer dans le lieu très saint. Tout chrétien a sa place au-dedans du voile, dans le sanctuaire céleste.
3. Il y a ainsi un plein accès à Dieu. « Par lui nous avons, les uns et les autres (Juifs et Gentils) accès auprès du Père par un seul Esprit » (Éphésiens. 2:18).
4. Tout croyant en Christ est saint, sacrificateur royal et il a le privilège d’offrir des sacrifices spirituels à Dieu. Il n’y a pas, dans le christianisme du Nouveau Testament, de classe spéciale de sacrificateurs distincte du peuple (1 Pierre 2:5, 9).
5. Par le seul sacrifice parfait et définitif de Christ, les croyants ont la conscience purifiée, ils sont sanctifiés et rendus parfaits à perpétuité devant Dieu, et ils sont assurés que Dieu ne se souviendra plus jamais de leurs péchés ni de leurs iniquités (Hébreux. 9:14 ;10:10, 14-17).
6. L’Église de Christ est composée d’un peuple qui a un lien vital avec Dieu par la nouvelle naissance, à l’exclusion de ceux qui n’ont qu’un lien extérieur avec Dieu par la naissance naturelle, comme c’était le cas en Israël. Seuls ceux qui sont « nés de nouveau » font partie de l’Église et peuvent adorer Dieu « en esprit et en vérité » (Jean 3:3 ; 4:24). Il n’y a pas de mélange — sauvés et non sauvés — dans le culte de la vraie Église.
7. Le christianisme est absolument, formellement céleste. « Notre bourgeoisie est dans les cieux » (Philippiens. 3:20). Il ne convient donc pas à l’homme dans la chair, il est au contraire un scandale pour un homme naturel. Ainsi l’opprobre de la croix et le rejet de Christ sont liés au vrai culte chrétien. « Tous ceux qui veulent avoir une belle apparence dans la chair, ceux-là vous contraignent à être circoncis (le judaïsme) ; seulement afin qu’ils ne soient pas persécutés à cause de la croix de Christ » (Galates. 6:12).
La victime est brûlée HORS DU CAMP, et c’est la part du chrétien. Il est mort au péché ; il a été crucifié au monde par le corps de Christ.
Ceux qui sont DANS LE CAMP ne peuvent comprendre la fin de l’homme dans la chair. Aucun de ceux qui y restent n’a jamais reconnu l’impossibilité totale d’améliorer l’homme ni accepté que son jugement est définitif. Tous les éléments qui composent la chrétienté de nos jours, comme en tout temps, prouvent cette incapacité du monde à comprendre que l’homme est perdu et inaméliorable. Les innombrables associations pour la tempérance, pour les œuvres de relèvement, etc., en sont la preuve.
Ceux qui composent le CAMP ne peuvent se croire perdus, ou ne donnent jamais à ce mot son vrai sens.
« Une RELIGION MONDAINE, formant un système dans lequel le monde peut marcher et dans lequel l’élément religieux est adapté à l’homme sur la terre, est la NÉGATION DU CHRISTIANISME ».
Quel contraste entre une religion terrestre comme celle d’Israël judaïque, et la religion céleste que possèdent les chrétiens.
Les Consacrés en Yeshoua sont à la fois HORS DU CAMP où ils ont trouvé Christ ici-bas, et AU-DEDANS DU VOILE, où ils trouvent Christ dans les lieux célestes.
Israël judaïque est DANS LE CAMP sans Christ et HORS DU VOILE sans Christ.
Le sang est dans les lieux saints et sans Christ on ne peut s’en approcher ; le ciel est fermé pour ceux qui demeurent DANS LE CAMP et ils n’ ont aucun accès possible devant Élohim. .
Le CAMP, et qu’est-ce que le CAMP ? :
Une relation RELIGIEUSE TERRESTRE avec Dieu, hors du sanctuaire, établie dans ce monde, avec des prêtres ordonnés entre l’homme et Dieu.
Le CAMP n’est pas le monde, mais une RELIGION DE CE MONDE.
Ce système, d’abord établi de Dieu, pour prouver expérimentalement à l’homme que Dieu ne peut habiter au milieu d’un peuple souillé par le péché, ce système avait été rompu dès le premier essai qui en avait été fait en Sinaï.
À peine le peuple avait-il accepté la loi, qu’il avait fait le veau d’or, se prosternant devant une idole.
Alors Moïse avait dressé la tente d’assignation HORS DU CAMP, où Dieu ne pouvait rester.
Dieu consentit ensuite et pour un temps à renouveler l’expérience, à RENTRER AU CAMP avec le TABERNACLE, et en Canaan avec le TEMPLE, tout en s’y cachant dans une profonde obscurité et en INTERDISANT au peuple l’entrée du sanctuaire.
Ensuite, quand la vérité fit place aux ombres de la loi, il descendit au milieu de son peuple dans la personne D’EMMANUEL.
Mais alors, Israël ne voulut pas avoir Dieu avec lui DANS LE CAMP. — Il le jeta dehors, le crucifia, ne lui octroya pas même DANS LE CAMP une place où poser ses pieds.
Ainsi, avant que Dieu entre DANS LE CAMP, Israël y établit une idole ; quand Dieu vient y demeurer, Israël le rejette et crucifie son Sauveur. « JÉSUS A SOUFFERT HORS DE LA PORTE ».
Mais là, il a accompli l’expiation. Au lieu de consumer ce peuple rebelle, il a été consumé lui-même, afin de le sanctifier par son propre sang.
Tel était LE BUT DE LA GRÂCE.
Mais ce malheureux peuple a préféré rester DANS SON CAMP quand Dieu N'Y ÉTAIT PLUS.
Les fidèles, comme autrefois à la tente d’assignation, devaient sortir HORS DU CAMP pour RENCONTRER DIEU.
Il en était ainsi pour ces Hébreux, il en est de même aujourd’hui pour le chrétien
SORTONS HORS DU CAMP !!!
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